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Portrait : Spleen

Le futur chanteur manifeste néanmoins des velléités de découvrir d’autres possibilités d’avenir que celles qu’ouvrent, en principe, les diplômes. Le sport de haut niveau (hand-ball) est une voie tentée, qui n’aboutit pas. Spleen se remémore alors une décision qu’il avait pris, un soir, lors d’un concert du « Parrain », James Brown, Place de la République, à l’occasion d’une fête de la musique : « je veux faire ça » !

Arts et métiers

Spleen ne sera jamais James Brown, mais il a pour lui la richesse d’une époque et la variété de ses inspirations. Ainsi il tâte du rap, mais ne s’enferme pas dans une coquille « urbaine » qui pourrait sembler tracée, car s’il est fils d’Africain né en France, il fuit comme la peste les clichés. Alors il touche aussi au slam, s’amuse à beat-boxer, mais s’intéresse aussi au nouveau folk, à la chanson française immémoriale, au rock… Une ouverture d’esprit qu’il est souvent difficile de faire admettre par le public, les médias, et l’industrie, qui aiment bien faire correspondre tout ça.

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