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Faits divers: Un garçon de 9 ans tué et mangé par des vieux ritualistes

Alerté par la police de l’Etat du Niger au Nigeria, un groupe de ritualistes avait été appréhendé ; ce dernier s’était spécialisé dans la consommation de chair humaine rôtie.

Ils seraient au nombre de trois ; une vieille grand-mère, Fatima (nom retenu) et ses complices Tetengi (l’homme) et une certaine Aminatou (nom retenu). Le garçon de neuf ans, Umar, avait été remis par son père, Mohammed (nom retenu) à sa mère, Fatima, pour l’aider à s’en occuper le temps qu’il revienne d’un court voyage.

Aussitôt que Mohammed s’en est allé, la mère, Fatima, qui se trouve être le premier suspect, aurait donné à son tour le garçon au deuxième suspect, Tetengi avec une intention de tuer le garçon et partager son corps entre les trois (inclue Aminatou).

D’autres contrôles ont révélé que la victime aurait été abattue par Tetengi, qui a rôti le corps du garçon et l’a en suite partagé avec Fatima et Aminatou comme prévu.

Lorsque le père de la victime est revenu de son court voyage à l’extérieur du village, il a dit avoir demandé à sa mère où se trouvait son fils dont elle avait la charge, et le premier suspect aurait informé que le petit garçon a disparu peu de temps après que Mohammed l’ait laissé à la maison et qu’elle ne l’avait plus revu depuis.

Une source policière à l’unité d’homicide de la police judiciaire, a révélé que le père de la victime a invité un spécialiste de l’islam afin d’élucider  cette mystérieuse disparition.

Une source a souligné que le résultat de la prière de l’imam a révélé que le premier suspect, Fatima, n’aurait pas été sincère au sujet de ses allégations en ce qui concerne la mystérieuse disparition d’Umar. Par la suite, l’affaire a été prise par (Dr) Yahaya Abubakar, chef suprême de Nupeland et président du conseil des chefs traditionnels de l’Etat du Niger, en vue de connaître la prochaine étape à prendre par le père lésé par la disparition de son fils.

Le monarque a dit avoir ordonné à l’homme et les membres de sa famille de signaler l’affaire aux autorités du commandement de police de l’Etat afin de percer le mystère de la disparition du garçon de 9 ans. C’est ainsi que les suspects avoueront l’un après l’autre le crime crapuleux lors de leur interrogatoire par les détectives attachés au ministère de compétence ; il en ressort que la chair humaine était plus savoureuse que celle des animaux…

Cette déclaration était fondée sur la prétendue expérience du suspect tout en mangeant le corps rôti du garçon de neuf ans.

Quelle histoire !

 

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