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Olivia B : « Rien ne peut se faire sans l’amour… »

Son nouveau maxi est attendu ; Olivia B se prépare à sortir Dis-moi la vérité, un plaidoyer amoureusement vôtre…

Aujourd’hui on va parler de votre nouveau projet musical…

Oui, il s’agit de « Dis-moi la vérité », il sortira d’ici quelques semaines, le temps que l’on règle deux ou trois choses en studio.

Combien de titre cette fois-ci ?

Quatre titres, en fait c’est un maxi single dans lequel l’amour prédomine (rires). Vous savez, l’on n’est rien sans amour.

Dites-nous en plus.

Dis-moi la vérité est un cri de détresse relatif au minimum de sérieux et d’attention que l’on aimerait que notre partenaire ait à notre endroit. Tout logiquement, vient Prends-moi au sérieux, comme pour appuyer le titre précédant…

C’est votre propre expérience ?

(Rires) Pas forcément, ça peut tout aussi être la vôtre, vous savez… Je m’inspire de tout le monde pour écrire mes chansons.

D’accord, poursuivons.

Le troisième titre c’est Amour à vie (rires), et je boucle avec l’instrumental de

On peut dire que vous respirez l’amour dans ce maxi…

Je vous avais prévenu.

C’est essentiellement du Bikutsi ?

A 75%, oui. Mais il y a aussi de la variété.

Et quelles sont les collaborations ?

Des frères ont accepté de me soutenir dans la conception de cet album, à l’instar de Yves Akamba, Valery Medjo, Achille Evina, Gaby Bass, Cathy Assendzy, Mballa Rogers et Gibraltar Drakus qui m’encadrent beaucoup.

Et s’il fallait revenir sur votre parcours, qu’avez-vous à nous dire ?

Mes débuts se sont faits dans les groupes scolaires, notamment au Collège La Retraite et au Lycée Technique de Yaoundé. Par la suite j’ai intégré la VDR (Voix Du Rassemblement). C’est après cette aventure que ma feue tante Annie Disco m’a conseillé d’entrer de plein pied dans le monde de la musique comme artiste. Bien sûr, il fallait commencer à la base (rires), j’ai débuté en faisant ses chœurs et ceux d’autres artistes. C’est après que je me suis mise à mon propre compte, en solo comme on dit souvent.

Donc vous n’êtes pas passée par des cabarets ?

Pas tout à fait ; je dirais que j’ai côtoyé pas mal qui y allaient et on travaillait ensemble.

Côté associatif ?

Je fais partie du G20 du SYNAPROM (Syndicat National des Professionnels de la Musique) dont le Président national n’est autre que Raymond Tchengang.

Et tout se passe bien de ce côté ?

Oui, à l’heure où je vous parle, j’ai sur ma liste déjà 5000 inscrits. Par la grâce de Dieu tout ira très bien. Il est grand temps que les artistes puissent s’épanouir et prendre leur destin en main, étant rassurés que leur droit ne sera plus bafoué. Et Monsieur Raymond Tchengang est celui-là qui, malgré tout et inconditionnellement, a donné du sien pour que cela soit possible. Et je lui en tire un coup de chapeau.

Par Dariche Nehdi

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