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Julio Trésor slamme pour Samuel Eto’o

«Un slam pour Eto’o», voici l’extrait de son album Renaissance qui suscite curiosité et intérêt à l’endroit du public camerounais et de la diaspora. Journaliste à la télévision Canal2 international veut, l’artiste Julio Trésor y passe un message fort, dans un contexte bien précis, où les hommes s’érigent en juges et se croient tout permis.

C’est le 10ème track de son opus et contrairement aux prévisions, c’est cette fleur à Eto’o Fils qui se révèle une bombe. Sorti le 14 novembre 2014 après une gestation au studio Kennedy Records, à Douala, le projet musical RENNAISSANCE continue alors de séduire. Mais entre séduction et polémiques, l’auteur use subtilement de son talent pour faire taire, mieux, sensibiliser les langues bien pendues et autres ignorants animés par l’absurde haine et d’aigreur ridicule à l’endroit d’un fils qui ne cesse d’eto’onner par son génie. Samuel-ritait une Reconnaissance due à son rang de légende.

« C’est un message qui interpelle tout un chacun à comprendre que nul n’est parfait. La chanson est arrivée à un moment où Samuel Eto’o est un tout petit peu désavoué par ne serait-ce que le public ou l’opinion publique par rapport à ses dérives ou alors ses frasques. Et je crois que les gens ont botté en touche ou alors balayé d’un revers de la main ce qu’il a eu à faire pour la nation et ce qu’il continue de faire en tant que footballeur. Je me suis dit voilà, à un moment de la vie, il faut qu’on s’arrête pour apprécier, pour regarder les qualités qui font la particularité de quelqu’un au lieu de s’accrocher sur les côtés négatifs », explique alors l’artiste à nos confrères.

D’autres noms de vedettes du foot à l’instar d’Eric Cantona, Diego Maradona ou Zinedine Zidane -dont on a oublié un peu les frasques -, y sont également cités. « On n’est pas prophète chez soi », s’offusque le journaliste-artiste, avant d’ajouter sue : « Au lieu de faire des statues ou alors créer des rues et des avenues comme on le fait dans d’autres pays pour les légendes, on est les premiers à tuer nos légendes ». Loin de juger ceux qui jugent les autres, Julio Trésor ne fait que reconnaitre les mérites d’un jeune footballeur camerounais qui fait rêver des millions d’autres jeunes dans le monde. Et l’international le lui rend bien, surtout après avoir posté sur sa page officielle facebook, ladite chanson en guise de remerciement.

 

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