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Dominick Ngantou Just nous ramène le concept KAMER FUNK des Etats-Unis

Proprio du label Elite Society, ce jeune camerounais qui a grandi au quartier Essos à Yaoundé, a également passé une partie de sa vie Aux Etats-Unis dans la ville de Chicago. Ce petit génie de la prod ose en mettant en avent un concept très particulier : le KAMER FUNK, titre éponyme de son nouveau single et de l’album à venir, une fusion du Makossa, du disco et des sonorités que l’on retrouve chez l’oncle Sam, pour témoigner du charme, de la joie et de la diversité socioculturelle de son pays dont l’élan patriotique n’a jamais été renié.

L’image qu’il projette est fondamentale : Un Cameroun qui a toujours su célébrer la joie, la paix, l’harmonie et l’hospitalité de par sa diversité ethnique et socioculturelle, et ses sonorités authentiques et originales. A chaque fois que Dominique Ngantou Just se retrouve hors de sa patrie, son cœur se retrouve toujours vidé de l’essentiel, cet amour naturel et cet élan jovial dont le manque se fait de plus en plus criard dans ces sociétés très évoluées : « Au Camerounn, chez moi, je me sens libre, aimé, joyeux, en paix, et toujours entouré ; c’est pas le cas ailleurs », nous lancera-t-il avec beaucoup d’étincelles dans les yeux. Tout petit, sa curiosité le plonge dans les disques de son père. Des noms comme Manu Dibango, Grace Decca, Kotto Bass ou encore St Bruno, saturent alors ses esgourdes. Pour lui c’est clair : Le Cameroun compte les meilleurs chanteurs de la planète. Très vite, il s’intéresse à la musique à son tour. Il a alors 18 ans quand il foulera le tapis d’un studio d’enregistrement, conseillé par son oncle qui travaillait pour une ONG. Très inspiré, il pond un titre qui plus tard deviendra tout un concept : Le « Kamer Funk », une sorte de mélange du Makossa, du blues, du disco et plusieurs autres influences, le tout chanté sur un air de mélancolie. Une recette qui le propulsera plus tard, lui permettant de bâtir à son tour son empire : Elite Society, où on verra produis Sindik 8 et Blink du Nigéria, Don Dale (USA), Brenda (camerounaise résidant en Virginie), The Boy Illinois (qui a collaboré avec Twista-USA) K. Vincent, Monique (qui réside en Chine) pour ne citer que ceux-là…

Ramener l’ambiance du Cameroun au pays de l’oncle Sam et se différentier du rap américain, est désormais un objectif atteint. Il va même collaborer avec Peter Essoka dans le cadre d’un projet, et effectuera plusieurs navettes entre l’Europe, les Etts-unis et le Cameroun pour quelques prestations. Fan de la hold school, Dominique n’en démord toujours pas ; il apprendra à jouer à certains instruments notamment du Piano, tam-tam, Bango, et Bass, pour perfectionner son art. Pour s’isoler un peu, l’homme avoue écouter sans arrêt des icônes de la jeune génération comme Stanley Enow et Jovi, donc l’écho retenti jusqu’à sa ville de résidence.

Kamer Funk, belle idylle musicale dont enchante son auteur non sans exhaler l’âme patriotique, Dominique se défini désormais grâce à elle, comme le PONT entre Chicago et Yaoundé. Jusqu’ici, il compte déjà 180 chansons, pour une dizaine d’albums, aux styles Afro-Classic-Hip hop, avec une forte influence des rythmes locaux. L’album Kamer Funk qui arrive très prochainement quant à lui réuni déjà la crème d’artistes urbains qu’on ne présente plus : On parle alors d’un certain Sadrak, de Danielle Eog (dans le titre Mister Policeman), de Lady B, entre autres. Il va élargir son champ en fonction des rencontres avec d’autres artistes.

Célébrons notre KAMER FUNK !!!

Contacts : werelitesociety@gmail.com ou 662 641 564 et 699 919 849

 

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