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Un cadre de la BEAC trouve la mort en faisant l’amour dans un hôtel à Douala.

La scène s’est vécue dans l’après midi d’hier Mardi 29 Octobre dans un hôtel de la métropole économique Douala ; le sieur Ousseni (puisqu’il s’agit de lui) avait pris le soin de réserver une chambre la veille, pour vivre une aventure nocturne très intense avec son « deuxième bureau » qui, à en croire l’apparente forte fréquence des rapports, s’attendait à un « rattrapage » digne de ce nom. Le malheureux était alors loin de se douter qu’il s’apprêtait là à consommer son dernier « gésier ».

La compagne de circonstance s’étant rendu compte que son héros sexuel ne présentait plus aucun signe de vie, prendra la clé des champs en douce. Informée du drame, l’épouse légitime de ce dernier débarquera en cascade  et en sanglot sur les lieux, pas la peine de lui faire un dessin, elle est inconsolable…

Quelques minutes après, c’est au tour de la famille du défunt de gagner les lieux, et d’accompagner la désormais veuve dans ses pleurs.

Que s’est-il réellement passé ? M. Ousseni aurait-il pris quelques comprimés (du genre Viagra) pour une puissance érectile afin d’impressionner sa belle ? Autant d’interrogations occupent, on l’imagine, la tête des uns et des autres.

La dépouille enveloppée dans un drap a été conduite dans une morgue de la place, et nous annonce-ton, enquête a été ouverte afin que lumière soit faite sur cette affaire.

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