"Je suis victime d’une grosse escroquerie orches...

« Je suis victime d’une grosse escroquerie orchestrée par un dénommé Youanchi Joseph et son complice Gilbert Baongla. Monsieur Yoro et moi sommes au tribunal de petite instance à Douala par rapport à un montage qu’il a mis sur pied pour m’escroquer 67 millions pour un véhicule qui ne vaut aucunement ces millions de FCFA.

Ce monsieur m’avait emprunté son véhicule et a estimé premièrement que les dommages fait à l’automobile s’élèvent à 4 millions et plus. Face à mon refus, il a mis ce véhicule à l’entrée de mon domicile en chantier à Douala, plusieurs sommations lui ont été envoyées, il n’a pas réagi. A cette Période, Petit Pays qui est un grand frère est intervenu pour une médiation restée vaine à ce jour.

De fil en aiguille, c’est devenu 67 millions de FCFA à verser pour ce véhicule. S’en sont suivis toutes sortes d’intimidation.

Devant mon refus de céder, ce dernier m’a menacé en m’envoyant les photos sur lesquelles il était avec le fils du président et il m’interdisait de remettre les pieds au Cameroun sinon je serais mis hors d’état de nuire.

Arrivé au Cameroun le 18 juin pour me présenter devant les tribunaux de notre pays le 12 juillet date de l’audience, pour la résolution de ce conflit, j’ai fait face à une interpellation musclée le 02 juillet par les forces du semil avec des chefs d’accusations allant de » ventes d’armes, financement de la sécession, Amazonienne ». J’ai passé suite à cela, une nuit passée dans les locaux du semil.

Nul n’aurait été l’intervention musclée des personnalités qui me connaissent, j’aurais été jeté en pâturage.Et je serais en Prison ».

J’ai l’habitude d’effectuer du tourisme et d’apporter mon soutien aux gouvernements dans leurs luttes militaires comme le confirment les captures d’écran de mon Facebook. Je travaille également dans une firme allemande de lutte de protection de l’environnement Africa Green Tec.

Je ne suis pas un ambazonien, je ne milite pas pour la guerre dans mon pays ou ailleurs, mais pour la paix et L’unité. »

Et je dénonce cette situation déplorable et le traitement dont j’ai été victime comme camerounais de la diaspora. Avec ce genre de situations beaucoup qui m’ont connu à l’époque comme promoteur culturel et propriétaire d’une discothèque à Londres craignent de revenir au Cameroun.

Au lieu d’aider les autorités à Arrêter les coupables de cette crise, on maltraite et enferme des innocents avec le trafic d’influences. Je dis stop!!! » A-t-il déclaré.