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KO-C : « 2019 c’est mon année… »

Nonobstant, le succès qu’il rencontre dans sa carrière, il est resté humble. Avec  le cœur et la raison , Ko C a bien voulu répondre à nos questions .

Vous êtes une étoile montante de la musique camerounaise comment êtes-vous parti de votre kumba natal pour la conquête de la scène musique camerounaise et par ricochet africaine? 

– Ko-C : Pour moi c’est le résultat d’un  travail ourdi depuis plusieurs années , comme vous l’avez dit je suis né à Kumba , j’ai grandi là-bas et j’ai terminé mes études primaires et secondaires dans cette ville , ensuite je suis allé à l’Université de Buea et c’est là où j’ai débuté la musique .Au fur et à mesure , j’ai évolué  de manière progressive .En 2017 , j’ai signé à Big Dream et là je suis managé par la West Si 2 corporation  et là on travaille ensemble pour la suite de ma carrière , donc c’est le Bolo .

Nous sommes à l’aube d’une nouvelle année, quels sont vos projets pour 2019 ? 

– Ko-C : J’entame l’année avec une surprise, c’est bien de surprendre les fans, toutefois je travaille pour la sortie de mon album pour le mois de   Mai, mais avant il y’a un single que je mettrai dehors.

Êtes-vous plus rappeur que chanteur ou c’est le contraire ? 

Ko-c: Non je suis plus rappeur que chanteur, je chante parce que je suis versatile .En fait j’ai beaucoup écouté Sarkodie, certaines personnes me prenaient comme son sosie en terme de musique .Et ce n’est pas bien pour un artiste, car un artiste doit se singulariser, avoir son propre style. Ainsi, j’ai commencé à faire ce que Sarkodie ne fait pas rapper et chanter en français comme en anglais donc je suis plus rappeur.

comment s’est faite la rencontre  avec big dream? 

Ko-C : C’est en 2017 que le top management de cette structure m’a écrit via facebook , il est passé par le manager de Salatiel .Après des échanges , je suis venu à Douala , on a longtemps discuté , j’ai signé le contrat , c’est comme ça que je suis arrivé dans cette boite .

En venant à big dream, est ce que tu n’as  pas eu peur d’évoluer à l’ombre de Locko  ? 

-Ko-C: Non, je n’ai pas eu peu, avec le showbiz tout est possible .J’ai longtemps rêvé de chanter avec Locko , comme j’ai dit dans ma chanson «Bolo », après ma signature à Big Dream j’ai fait une chanson avec lui «i love you».De ce fait , en sachant que Locko est à Big Dream , ça m’a beaucoup motivé .

Quelle est l’histoire qui se cache derrière bolo ? 

Ko-C : Dans cette chanson , on peut dire que  je rencontre l’histoire de ma vie .J’ai débuté ma carrière tout doucement à Buea  en faisant des freestyle avec les amis , avec le travail que j’ai abbatu , j’ai signé à Big Dream , faire un featuring avec Locko comme les blagues .Cette chanson  , c’est aussi pour appeler les gens à ne pas se décourager dans leur projet  , quelque  soit le secteur dans lequel  tu évolues , c’est tout doucement qu’on atteint ses objectifs .

Et quid de sango avec Fanicko? 

Ko-C : C’est Dieu qui donne tout , l’inspiration n’émane pas de moi , elle vient comme ça et chaque mélodie a un thème bien précis .En outre la chanson «Sango » m’a été inspirée par le grand Manu Dibango dans sa chanson où il dit «Sango Yesu Christo Alleluia »

Sur Instagram , on vous voit entrain d’apprendre une danse  à Mink’s , il s’agit de quelle danse ?

Ko-C : C’est une danse originaire d’Afrique du Sud, c’est le gwagwa .Elle est répandue dans toute l’Afrique et elle passe dans tous les sons.

Votre manager Jas B est il dur avec vous ? 

Ko-C: Il n’est pas dur avec moi, il est juste professionnel , certaines personnes croient qu’il se prend la tête or, il est juste méthodique , il aime quand les choses sont bien faites.

Par Yahaya Idrisse

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