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À la découverte du magazine Mô wé

Ayant pour directeur de publication Youssouf, le magazine Mô wé se veut avant-gardiste et innovateur, la  cible étant la jeunesse « Mô wé »  qui signifie bonne chose contient des bonnes choses nous révèle son jeune Directeur de Publication Youssouf.

Merci de répondre à nos questions, la presse camerounaise vient de s’enrichir d’un nouveau bébé, pouvez-vous nous présenter votre magazine Mô wé ?

Youssouf : Mô wé c’est un magazine people, un magazine jeune qui a pour ligne éditoriale la promotion des œuvres culturelles, artistiques, littéraires et sociales. Et dans la même lancée Mô wé sensibilise les jeunes sur les fléaux qui minent notre société. Mô wé signifie bonne chose et comme la jeunesse aime ce qui est bien, nous avons choisi le francanglais qui est largement parlé par les jeunes. Le magazine regorge plusieurs rubriques à savoir Wé fort, jardin secret, Wé cool, évènement, talend, WÉ a une, flash-back, WÉ actu, summum, WÉ sport…

Qu’est ce qui vous a poussé à mettre en  branle ce magazine ?

– Youssouf : Déjà je suis journaliste et je travaille dans une structure de communication, ce qui me pousse à mettre sur pied ce magazine c’est la passion, l’amour pour le métier de la rédaction.

L’écriture de ce magazine oscille entre le français et le camfrancanglais , pourquoi cette technique d’écriture ?

– Youssouf : Justement parceque lorqu’on jette un coup d’œil sur les magazines qui paraissent, on en trouve pas cette juxtaposition du français et de l’argot, c’est pour cela que j’ai pris l’initiative de rédiger mon magazine avec cette touche langagière.

Quelle est la cible du magazine ?

-Youssouf : C’est la jeunesse étant donné que moi-même je suis jeune.

La première de couverture présente une jeune femme à côté d’une panthère  quel message voulez-vous véhiculer ?

– Youssouf : La panthère est une appellation qu’on a collé à la femme au Cameroun, quand on dit femme – panthère mythe ou réalité on veut montrer l’image positive et l’image négative de ce qui est une femme panthère, dont nous éclairons la lanterne des lecteurs sur le nom de code de femme panthère.

Comme femme – panthère vous avez choisi une jeune inconnue du public, qu’est ce qui explique ce choix ?

– Youssouf : C’est ce qui fait la particularité du magazine, prendre n’importe qui et placer à la une du journal, il suffit juste que la personne recherchée réponde à nos critères, comme celle que nous avons choisie  pour illustrer la femme panthère.

Il y’a certains journaux qui ont disparu quelques temps après leur parution, quelles sont les garanties que vous donnez aux lecteurs pour la pérennité de Mô wé ?

– Youssouf : Ma garantie c’est le travail, l’espérance et la persévérance. Car quand on aime on peut et on réussit.

À quand la présentation  officielle de ce magazine ?

– Youssouf : C’est vrai que la date n’est pas encore calée, mais ça ne saurait tarder, toutefois ça se  fera sûrement en ce mois de mars.

Le mois de  mars où on célèbre la femme, en feuilletant le magazine, l’on constate que plusieurs activités sont consacrées à ces dernières, est-ce un appel aux femmes ?

– Youssouf : Ce n’est pas un hasard si l’on paraît pour la première fois en Mars, car le mois de mars étant le mois de la femme nous avons pensé à la gente féminine avec la rubrique jardin secret qui parle de la femme. Nous sensibilisons cette dernière à l’affirmation de soi, elles sont leur propre marabout, de ne plus aller voir les charlatans.

Par Yahaya Idrissou

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