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La Prada Danger : « Toutes celles qui dansent avec Serge Beynaud, ce n’est pas n’importe qui ! Il ne recrute que les meilleures…»

Ce sont elles qu’on imite en boite de nuit, à la maison,… le cas échéant nous emmène en Côte D’Ivoire, la terre d’ambiance. Un réservoir immense de talents musicaux. Les Danseuses de Serge Beynaud l’accompagnent toujours,  depuis quelques années, l’artiste très fashion dont les singles cartonnent partout en Afrique, mais aussi en dehors. Il s’agit du groupe de danse « La Prada Danger » composé de : la Petite sauvage, Aly Choco et plus récemment admise Sandia Chouchou qui est venue compléter ce tandem déjà explosif pour en faire un trio de choc d’où l’appellation unique « La Prada Danger » aux allures de marque select. Ce sont trois femmes, trois danseuses pourtant très calmes, sereines qui ont foutu tout le palais des sports de Yaoundé en l’air de par leurs chorégraphies venues d’ailleurs que notre équipe à rencontrer pour le plaisir de nos nombreux lecteurs. Et c’est la petite sauvage qui a été choisie par le groupe pour nos internautes, de concert avec les autres.

Salut la Petite, comment se porte votre groupe ?

Salut, le groupe se porte très bien

C’est désormais une coutume à chaque sortie musicale de Serge Beynaud, vous êtes tellement endiablées, avec de beaux mouvement d’ensemble et beaucoup en sont admiratifs et reprennent d’ailleurs vos pas. Comment avez-vous appris à danser aussi bien ?

Pour chacune de nous, c’est un don de Dieu, on n’a pas appris à danser.

Comment vous êtes vous lancer dans la danse ? Est-ce par le biais de quelqu’un ou bien ?

Non, ce n’est pas par le biais de quelqu’un, c’est un truc qui est né en moi, particulièrement. Mais c’est vrai que depuis toutes petites on rêvait d’être danseuses. Et par la grâce de Dieu aujourd’hui, on est danseuses.

Vous vivez de votre art, la danse ?

Oui, on s’en sort sans problème.

Qu’est ce que ça vous fait d’accompagner Serge Beynaud à travers le monde aujourd’hui. Est-ce aussi émouvant que de rester au pays avec les autres artistes ?

Ça nous fait grand plaisir d’être avec notre artiste, de voyager avec lui partout dans le monde, ça nous permet de connaître plusieurs pays. Franchement, ça nous fait beaucoup de plaisir.

Vous semblez très peu bavardes, est-ce que vous vous concentrez pour le show ?

Nous sommes en fait timides de nature !

N’avez-vous jamais pensé à une carrière solo, comme font plein de danseurs ?

Non, non, pour l’instant on n’a pas cela en tête. On veut être de grandes danseuses plus professionnelles dans l’avenir. On ne veut pas faire de carrière solo. On a toute la même idée. On a un projet commun, c’est de créer notre propre école de danse.

Je me rends compte que vous êtes tellement en symbiose qu’il est même difficile de vous dissocier. Depuis combien de temps évoluez-vous ensemble ?

Ça fait longtemps. Depuis plusieurs années déjà.

Le nom du groupe que vous formez désormais toutes les 3 est plutôt expressif de votre mignoncité. On dirait un bataillon dans un combat de « sape » : « la Prada Danger ».

C’est un nom crée par notre patron Serge Beynaud. C’est lui le patron du groupe et c’est le créateur.

Qu’est ce que vous souhaitez à votre patron pour la nouvelle année 2013 et surtout pour la suite de sa carrière ?

On lui souhaite vraiment tout le bonheur. On lui souhaite longue vie. Que Dieu lui donne la santé, afin que tous les jours, on ait les « gombos » (rire).

Vous êtes toujours toutes coquettes, très bien habillées. Quel est votre secret ? Vous avez signé avec un styliste qui vous fournit des vêtements pour vos sorties ?

Non, mais ça vient du patron ! C’est lui qui collectionne notre garde robe, c’est lui qui apporte tout ça. Et par rapport aux vêtements là, depuis qu’on est toute petite même, on Sape ! Donc c’est un peu dans le sang quoi ! On peut avoir de jolis habits mais faut savoir mettre ça. On ne force pas.

N’envisagez-vous pas de vous expatrier par exemple ?

C’est vrai qu’on envisage quand même de travailler en Europe. Des affaires vont bien bouger quoi ! Parce qu’en Afrique, c’est très difficile. On envisage vraiment de le faire. Dans un pays comme l’Allemagne par exemple, parce que là bas ils aiment bien la danse.

La nouvelle danseuse, Sandia Chouchou a-t-elle passé un concours pour intégrer votre groupe ?

Vous savez Serge Beynaud, c’est un grand homme. C’est un Monsieur qui ne s’amuse pas avec le travail hein ! Toutes celles qui dansent avec lui, ce n’est pas n’importe qui hein ! Il ne recrute que les meilleures pour danser avec lui. Il faut bien travailler, il faut être sérieuse. Tout va aller bien.

Qu’est ce que vous pensez très sincèrement de l’artiste Serge Beynaud personnellement ?

Vraiment Serge Beynaud, c’est un grand quelqu’un ! Il est gentil, il a tout ce qu’un homme doit avoir. Y a pas 2 Serge Beynaud, c’est le seul Serge Beynaud « Sexy nini Gbiyayi » ! « Sigui Da »

Qu’est ce que ça signifie ce cri là ?

« Sigui Da », c’est le cri de guerre. C’est Serge Beynaud, ses enfants et son staff.

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