
Monsieur Basseck, quel commentaire vous inspire cette 17ème édition ?
Beh je pense que les choses ont bien démarré, c’est vrai qu’on a toujours une certaine anxiété quand il faut se lancer, et à la fin de la cérémonie tout le monde est toujours content. Même si quelques petits détails s’invitent, là je parle de la qualité de la projection de ce soir qui relève purement de la technique… Je pense que l’anxiété est désormais derrière-nous, et on peut à présent continuer nos activités prévues durant toute cette semaine, en comptant bien évidemment sur la présence massive du public.
On peut déjà remarquer la forte représentation du public ce soir ; en termes d’effectif, la montée des marches a rempli son contrat, on peut dire…
Oui, et c’est très normal d’ailleurs car nous avons un public acquis qui nous reste fidèle ; attention je ne veux pas dire qu’il ne faille plus rien faire et baisser les bras non, mais la réalité est là, le festival draine toujours du monde et nous en sommes satisfaits.
Un prix spécial a été décerné au grand comédien ivoirien Bakary Bamba ; peut-être un mot dessus ?
Oui, il le mérite ; c’est un grand comédien pour qui j’ai beaucoup de respect, il a énormément fait pour le cinéma africain, donc j’estime que cette consécration, aussi modeste soit-elle, est la bienvenue.
Merci Monsieur Basseck…
Merci d’être venu, merci à tous ceux qui ont répondu présents, à ceux qui nous suivent depuis 17 ans aujourd’hui et n’oubliez pas, venez nombreux regarder les films au programme durant toute la semaine.
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