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Braquage de Kim Karda­shian : le cerveau de l’af­faire démasqué, il s’étonne de la simpli­cité de l’af­faire

Le cerveau du braquage est passé aux aveux et a même raconté à quel point ce dernier avait été facile à orga­ni­ser… grâce à inter­net ! Des confes­sions très « The Bling Ring »…
Dans la nuit du 2 au 3octobre dernier, Kim Karda­shian a été victime d’un violent braquage à Paris. Des hommes ont fait irrup­tion dans sa chambre et lui ont volé tous ses bijoux.
En plus d’avoir vécu un trau­ma­tisme psycho­lo­gique, la jeune femme a perdu l’équi­valent de 10 millions d’eu­ros. Depuis, l’enquête avance et l’étau se resserre.
Le nom du cerveau de ce braquage est désor­mais connu et a été révélé par le jour­nal Le Monde qui a pu consul­ter son audi­tion. Il s’agit d’un certain Aomar Ait Khedache, âgé de 60 ans et surnommé « Le vieux ».
Malgré son âge et son surnom très Taran­tino, l’homme a tout d’un sérieux bandit. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’il est impliqué dans une affaire de ce genre. Il a déjà été condamné en 2010.
Aomar Ait Khedache a d’abord nié toute impli­ca­tion dans l’af­faire avant de fina­le­ment craquer. Son ADN avait été retrouvé sur des serflex, des liens en plas­tique utilisé pour ligo­ter Kim Karda­shian.
Après avoir avoué être le cerveau de l’af­faire, Aomar Ait Khedache a ajouté que cette dernière avait été d’uns simpli­cité décon­cer­tante. Aidé par un proche de la victime qu’il n’a pas dénoncé (il s’agi­rait sans doute du chauf­feur), il a prévu le braqua­ge… grâce à inter­net !
« L’affaire propre­ment dite était donnée sur Inter­net, avec tout. Les bijoux présen­tés sur Inter­net, préci­sant qu’elle ne portait pas de faux bijoux. Qu’il n’y avait pas de faux, les horaires quand elle venait en France (…) Il suffi­sait de regar­der sur Inter­net pour tout savoir, abso­lu­ment tout », a-t-il raconté.
Pour Aomar Ait Khedache, le braquage de Kim Karda­shian était donc facile à orga­ni­ser et à réali­ser. « Ce n’était pas un gros vol à main armé. Il suffi­sait de neutra­li­ser le veilleur de nuit et d’accé­der à la chambre (…) J’ai tout de suite été emballé. C’était une affaire très simple. Ça n’était pas un truc violent. C’est pas un braquo quoi », a-t-il confié. Pour la victime, il n’est toute­fois pas facile à oublier.

Par voici.fr

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