
276 lycéennes avaient été enlevées à Chibok par la secte islamique Boko Haram il y a deux ans. Après 600 jours sans suite, les parents de ces enfants ont marché hier jusqu’au palais présidentiel pour réclamer la libération de leurs enfants.
Ils ont par la suite été reçus par le président nigérian Buhari jeudi, à Abuja.
Oby Ezekwesili ancienne ministre de l’Education, aujourd’hui à la tête du mouvement « Bring Back Our Girls » qui étaient avec les manifestantes a demandé au président Muhammadu Buhari d’être plus offensif dans son approche de cette question douloureuse. Le président nigérian a annoncé la création d’une commission d’enquête sur l’enlèvement des jeunes filles. « Je vous assure que je me couche et je me réveille tous les jours en pensant aux filles de Chibok » a-t-il écrit dans un communiqué.
Commentaires
0 commentaires