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Ouilfreed Meyou a officiellement présenté « Yayato »

Le vendredi 3 janvier 2014 a été la date choisie par Ouilfreed pour présenter au grand public son tout premier et très attendu opus intitulé « Yayato ». C’est la Case des Arts qui a ainsi été le théâtre de cet événement. Après des tours dans les radios, télé et les affichettes à travers la ville de Yaoundé, Ouilfreed est enfin monté sur le podium en tant qu’artiste confirmé.

De nombreux médias présents, la famille, les amis, sans oublier les artistes. Chacun faisait son arrivée à la camerounaise ! 20 h fut pourtant l’heure initialement prévue pour le début du show. Avec quelques minutes d’étirement, les hostilités ont finalement pris quartier de l’importante assistance.

En première partie, Bookerti s’est tout d’abord fait l’immense plaisir de donner du punch à la salle en balançant son rap d’espoir, en proie à de beaux jours ; il a donc appelé sa génération vient on reste puis a chanté sa « Sérénade ». En second, Samy Labrute a pris le temps de nous faire rentrer davantage dans le show, en nous prouvant qu’il est vraiment d’ici ; il a ensuite fredonné un son sur la « Famille ». Qu’à cela ne tienne, pour Samy, de toutes les façons il ne faut pas « Lâcher la Monnaie ». Message à retenir à la fin de son passage très applaudi. Ouilfreed Meyou a véritablement été épaulé par ses paires. Les deux premiers lui rendant hommage car Samy Labrute pour sa part, avoue avoir vu le grand frère Ouilfreed à la télé tout petit déjà et qu’il l’inspire beaucoup. Séquences émotives et de pures partages lorsque l’un des membres du groupe C-Minaire, Buddha Fayta fit sa montée sur scène. Buddha Fayta aussi a enchaîné des appels de soutien et d’amour, avant de lancer avec « Ne crie pas, Ne pleure pas », repris en harmonie. La suite de son passage c’est avec « Swali », des pleures dont l’artiste peint les couleurs à sa manière. Et, «le son « Bok Bess » pour clôturer son passage énergique.

C’est là que la host du show case Marlène, repris le micro pour appeler avec allégresse, la vedette du soir Ouilfreed Meyou. Le pourquoi de cet innombrable déplacement étant la présentation de l’album « Yayato ». Un bijou très brièvement disséqué avant le passage de la tête d’affiche de la soirée avec l’une des hôtesses, la jeune styliste afro KLN.

L’orchestre d’accompagnement de l’artiste Ouilfreed Meyou préliminairement commencé par balancer le rythme très cadencé. L’arrivée du chanteur a officiellement scellé le suspense retentissant, logé derrière l’attente insoutenable de cet album. L’enfant du pays a finalement lâché sa voix qui n’a absolument connu aucune ride depuis son tout premier tube « Mboa Su » au début des années 2000. Un souvenir chargé d’histoire et d’origine d’une grande aventure arpentant la suite de son scénario ce vendredi. Les chansons pour la plupart en pidgin camerounais et en dialecte de chez Ouilfreed, cet instant semblait prendre un bol de souvenirs agréables. Le public  apparemment à son aise, levant les mains en l’air, en communiant avec l’artiste. « Ou Sai You di Go », comme pour dire à sa petite amie où vas-tu ? Les enfants pleurent, etc. Des histoires, le vécu de la société du mboa. On dit des bonnes choses qu’elles ont toujours une fin, pourtant le live de ce moment ameutait nos cœurs de saveurs exquises, profondes de bonnes mélodies. Une escale ouverte dans notre contrée, véritablement consommé par le public appelé à venir chanter avec Ouilfreed sur scène. Le show case facilité par les musiciens aux doigts dorés. Paul à la bass, apportait ce côté résonnance au live. Joël rajoutant sa rangée de touches en complément succulent et sa facilité à se confondre dans ce tout avec son clavier. A la guitare, Tchango s’est approprié l’avantage de transcender l’assistance de sa dextérité. Georges n’a plus fait qu’un avec les percussions, sortant la touche incroyable à tous les changements de rythmes, brillamment parsemé de son talent ! Et, la batterie menée des mains d’expert par Florent. Un peu de chaleur, de soleil dans ce monde de… La radieuse Grâce au chœur emportait de concert avec le maître de l’instant Ouilfreed, la palme de la symbiose pour placer les spectateurs dans un confort rare.

L’album « Yayato » a officiellement été placé dans les oreilles de ses destinataires pour qu’ils en découvrent son contenu extrêmement unique. Ouilfreed Meyou ne manquera donc pas par ailleurs de remercier ce merveilleux public, ses amis, les médias, la famille, venus aussi nombreux lui confier leur soutien inconditionnel…  L’histoire continue, restons connectez !

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