Patou MANGA impose son EMPREINTE au Cameroun avec CÎROC

Le styliste-habilleur PATOU MANGA n’en démord pas de son désir de devenir LA référence africaine voire mondiale de la Mode. Ses multiples performances sur les plus gros plateaux et son relationnel font de lui un personnage très influent du milieu. Ce natif de Douala depuis plusieurs mois a investi son pays avec des objectifs bien précis : y promouvoir la diversité de l’art de la mode et du style. Vendredi 04 décembre dernier, il a présenté sa collection « EMPREINTE » à l’Hôtel SAWA de Douala, soutenu par la marque CÎROC de Diageo…

Bientôt l’Afrique et le Cameroun en particulier en mode « Patoustyle », l’ « EMPREINTE » de Patou Manga qui se caractérise par son originalité frisant le trendy et l’intemporel. De part ses expériences dans les plus grandes maisons notamment BALENCIAGA, Yves St Laurent, Gucci, Prada, Louis Vuitton et des compétences acquises dans le processus de création des vêtements jusqu’à leur arrivée en boutique, ce génie-designer à l’audace à peine voilée sait alors exactement ce qu’il a à faire et où il va. La soirée « Mon EMPREINTE » qu’il a organisé du côté du SAWA Hôtel de Douala vendredi 04 décembre dernier nous aura alors donné une idée sur sa vision y relative. Soutenu par CÎROC, cet ancien approvisionneur de matières et pigiste pour certains magazines de mode ne lésine sur aucun moyen pour parvenir à ses fins, comme on a pu le remarquer. Si jusqu’ici certains l’admiraient pour sa proximité avec des stars mondiales notamment Kanye West, Sean Combs (P. Diddy), Cassie et Tinie Tempah etc, d’autres par contre l’attendaient au tournant afin de véritablement toucher du doigt ce talent tant venté. Et bien Patou ne les a pas déçu. Ses tenues présentées ce fameux soir débordaient d’authenticité, et sa petite touche de folie sur les coupes nous rappelaient à merveille les goûts de son premier amour : le football : des pantalons affutés portés sous un trench ample, robes de soirées assez légères et osées, des accessoires sexy au design millimétré, des couleurs variées pour un plaisir oculaire, et les ovations détonnaient pour apprécier la force des lignes et la délicatesse des détails de ce perfectionniste imperturbable aux allures de séducteur inégalé. Loin de lui la prétention du créateur incomparable : « Je ne révolutionne rien, je fais juste une réinterprétation subtile des fondamentaux du vestiaire masculin et féminin », précise alors le styliste.

Le défilé était alors très attrayant, mais surtout intéressant à en juger la satisfaction des invités qui se promettaient de se procurer quelques tenues. Aux platines, Dj Labastille 1^er ajoutait de la couleur en termes de sonorités très prisées et l’intervention de Nabil Fongod, scéniquement parlant, détendait l’atmosphère déjà enjolivée par la marque de vodka CÎROC.

Patou Manga pour sa part a pris l’engagement de multiplier des soirées du genre, histoire de « montrer effectivement ce que c’est qu’un évènement de mode », pour reprendre ses propos.

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