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Lutte contre Boko Haram : Le Colonel Fouda Jean Jacques au service de la nation

Le Directeur du matériel interarmées, bras séculier du Mindef Joseph Beti Assomo, est tout simplement la force tranquille des victoires de l’armée camerounaise dans la lutte contre la secte islamiste Boko Haram dans la région de l’Extrême-Nord et, autres attaques rebelles à la frontière Est avec la RCA.

Au commencement, la guerre contre Boko Haram avait donné des sueurs froides au peuple camerounais en particulier et, aux pays du Golfe de Guinée et du bassin du lac Tchad en Général. Au jour le jour, la peur se dissipe. Le peuple regagne en confiance et, petit à petit, Boko Haram s’éclipse. Cette victoire est l’œuvre de notre armée. De son chef suprême, le Président de la République et de certaines autres personnalités au rang desquelles Joseph Beti Assomo et ses proches collaborateurs, dont le travail se fait dans l’ombre. Loin des caméras et tous tapages. Une de ces personnalités, sinon la principale qui est au centre du triomphe de notre armée est le Colonel Fouda Jean Jacques, Directeur du matériel interarmées et proche collaborateur du Mindef. Homme très discret, par qui le Cameroun réussit à mettre hors d’état de nuire la menace qui pesait sur tout son peuple.

 

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Nommé à la direction du matériel interarmées depuis quelques années, le Colonel Fouda Jean Jacques a jusqu’ici répondu avec maestria à la tâche qui lui incombe au sein de l’armée camerounaise à savoir, doter nos valeureux soldats d’équipements de pointe à même de repousser toute menace d’où qu’elle vienne, C’est à dire que cet officier supérieur de l’armée camerounaise mérite bien la confiance que lui a accordée le chef suprême des armées. Que ce soit au sein de la gendarmerie, de l’armée de terre, de la marine et de l’armée de l’air ou des forces spécialisées, tous sont unanimes : « l’arrivée du Colonel Fouda à la direction du matériel nous a fait voir que l’armée camerounaise pouvait se doter d’un matériel hautement sophistiqué ». Une fois la menace signalée, la touche du jeune colonel a été de ravitailler et de revitaliser en matériels nos forces de défense.

Il a ainsi procédé à un réajustement technico-tactique des armées (terre, marine, air, sapeurs, gendarmerie). Par les soins du Colonel Fouda, l’armée de l’air s’est par exemple doté de deux hélicoptères MI-17 et Z9WE et des aéronefs qui viennent en appui aux troupes au sol. L’armée de l’air a aussi bénéficié d’un avion 235-M et d’un MA-60 pour le transport des autorités. On ne saurait compter les nombreux véhicules tactiques légers tout terrain et blindés régulièrement fournis aux autres armées. Bref le Colonel Fouda a doté l’armée camerounaise d’un équipement de guerre qui lui a permis d’infliger des punitions répétitives à Boko Haram. Les commentaires des soldats au front en témoignent : « Maintenant, nous nous sentons en sécurité, on nous a donné un arsenal de dernière génération, quand on va au bouclage même dans les zones rouges, on est sûr de rentrer victorieux. » affirme un caporal-chef de la 41e brigade d’infanterie motorisée. « En ce qui concerne l’armement, nous sommes gâtés. » ajoute-t-il.

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Tout comme les soldats, sous-officiers, officiers et officiers supérieurs de l’armée porte cette reconnaissance : « Le Colonel Fouda a fait ce que les autres n’ont pas pu faire » scande un colonel de la IIème Région de gendarmerie, Légion du Littoral. « Si vous avez vu le défilé motorisé du 20 Mai vous aurez eu une de l’artillerie de notre armée » ajoute un autre officier qui passe. Dans la guerre contre la secte Islamiste Boko Haram, l’armée camerounaise a retrouvé ses lettres de noblesses grâce à cette artillerie qui lui permet de traquer l’ennemi jusqu’à ses derniers retranchements. Elle dispose désormais d’une augmentation capacitaire importante et d’une mobilité lui permettant d’explorer le champ ennemi. Grâce à la loyauté et au professionnalisme du Colonel Fouda, le Cameroun sort victorieux de la guerre contre Boko Haram. La nation tout entière lui doit un coup de chapeau chaque fois qu’un élément de Boko Haram tombe, les familles lui doivent reconnaissance chaque fois qu’un otage est libéré car il n’y a pas de victoire dans une guerre sans un armement de qualité.

Source : Joseph Essama pour le Point Hebdo

 

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