Festival Ecrans Noirs 2013 : le train entre en gare ce jour.

Le village du festival était plutôt bruyant hier vendredi du fait des multiples activités qu’il abritait. Sur le podium se succédaient les différentes compétitions de danse, élection Miss et Masters, et concours de chants, devant un public très chaud. La gastronomie y occupait également une place de choix, et quelques coins de boissons rafraîchissantes complétaient l’espace.

La séance de projection pouvait alors commencer, et chacun se précipitait vers son siège pour mieux vivre l’instant. Le premier film du soir est signé de l’acteur ivoirien très connu Guy Kalou, « Et si Dieu n’existait pas ? » ; le film raconte l’histoire d’un jeune homme abandonné dès son enfance pas sa mère étant déjà orphelin de père.

Le destin l’amène à croiser le chemin de deux personnes qui bouleverseront sa vie : Une sœur religieuse qui se donnera pour mission de retrouver ses parents biologiques, et une ravissante demoiselle dont il tombera amoureux. Seulement, cette dernière n’est autre que la fille de son beau-père (l’époux de sa mère biologique), et les affaires se compliques. Un film plein de dénouements…

L’acteur et producteur du film ne manquera pas de monter sur la scène pour dire un mot non seulement sur les contours de cette belle réalisation, mais surtout à l’endroit de ce public camerounais qu’il découvre et qui à l’unanimité a apprécié le projet.

Plus tard, un documentaire sur la sensibilisation en milieu jeune et initié par des figures du hip hop Valsero, Tony Nobody, Boudor et Krotal viendra clôturer la soirée. Ce soir, l’ultime montée des marches au palais des congrès pour ce qui est ou a été de cette 17^ème édition marquera une pause en attendant l’année prochaine.