Naouelle : « si on a dit concours Azonto, c’est Azonto qu’on doit développer »

Un peu essoufflée, mais satisfaite on imagine…

Bah, on peut dire parce qu’on s’est amusé, bon, le jury a fait son travail… Sinon je suis contente d’avoir participé et le meilleur reste à venir.

On te sent un peu réticente quand tu parle du jury…

Bah parce que le verdict du jury…, je ne sais vraiment pas quoi dire, déjà je ne connaissais pas les critères, mais comme c’est un concours d’Azonto qui est une danse urbaine, je pense qu’on devrait normalement noter seulement la danse parce qu’il y a certaines personnes que j’ai vu reprendre des styles comme le dombolo, le coupé-décalé et le jazzé ; bref, si on a dit concours Azonto, c’est Azonto qu’on doit développer.

Vous étiez deux filles ce soir…

Oui, elle s’est bien battue, elle a donné ce qu’elle avait. C’était bien, je trouve.

Vous serez deux femmes lors de cette première finale d’Azonto la semaine prochaine ; qu’en dis-tu ? As-tu peur de te confronter aux mecs ?

Non, je ne dirais pas ça, je vais bien me préparer ; c’est un duel, alors je vais me battre jusqu’au bout.

Depuis le début de cette compétition on t’a vu observer les différents candidats ; selon toi, la finale s’annonce serrée ?

C’est quand-même une finale, donc il est fort probable que les uns et les autres se préparent franchement. Bon, je dirais que chacun à ses secrets, on verra bien le jour-J.

Ton coup de gueule…

Juste dire que Naouelle arrive, et qu’elle se prépare (rire).