Stéphane Mbia nouvel ambassadeur de la marque des montres de luxe Christophe Claret

Après l’acteur franco-marocain naturalisé américain Saïd Taghmaoui, le boxeur Ukrainien Vasyl Lomachenko… Stéphane Mbia devient le nouvel ambassadeur de la marque de montre de Luxe Christophe Claret. L’ancien capitaine des lions indomptables a annoncé l’information sur son compte twitter.

Heureux et fier de devenir ambassadeur de la marque @Claret_Time ! ????#montres #horlogerie pic.twitter.com/TM4fAJQQpM
— Stephane Mbia (@StephaneMbia) October 1, 2019

Christophe Claret, dont le siège est situé au Locle, fait partie de la nouvelle génération d’horlogers qui fascine les amateurs de montres par ses innovations visionnaires. Inspirées de l’aviation ou de la fabrication des instruments de musique, les montres de Christophe Claret bousculent les conventions. Depuis sa création en 1989, la marque allie une technique horlogère extraordinaire à un design hors du commun.

Les montres Christophe Claret sont des mécaniques d’exception. Elles témoignent d’un savoir-faire résolument tourné vers l’innovation technologique, repoussant sans cesse les limites du possible et proposant des manières inédites de lire le temps.

Qui est Christophe Claret ?

Né en 1962 à Lyon, Christophe Claret ne se passionne guère pour les études. Âgé de quatorze ans, une visite chez un horloger restaurateur lui ouvre de nouveaux horizons. À 20 ans, diplômé de l’École d’horlogerie de Genève, il assouvit sa soif de connaissances auprès de Roger Dubuis. Le cabinotier lui transmet les secrets de la restauration et de la complication. En 1983, Christophe Claret installe son atelier dans la maison familiale à Lyon. Grâce aux outils et au matériel chinés aux puces de Genève ou de Lyon, il restaure des pièces d’horlogerie ancienne et fabrique des montres squelettes.

De la foire de Bâle au manoir du Soleil d’or du Locle

Alors qu’il se rend pour la première fois à la foire de Bâle en 1987, Christophe Claret rencontre l’industriel suisse Rolf Schynder. Nouveau propriétaire de la marque Ulysse Nardin, ce dernier lui commande une vingtaine de mouvements à répétition minutes avec Jacquemart. Franck Muller, Jean Dunand, Harry Winston, De Grisogono, entre autres, vont à leur tour faire appel à Christophe Claret. Après avoir créé sa société à La Chaux-de-Fonds, l’horloger installe en 1989 ses ateliers au Locle où il acquiert le manoir du Soleil d’or, une ancienne bâtisse voisine du musée d’Horlogerie des Monts. À partir de sa conviction selon laquelle « en horlogerie, tout a été fait, tout reste à inventer », Christophe Claret mise beaucoup sur son bureau d’études. Sur une centaine de salariés, quatorze travaillent à concevoir des indications, des fonctions, des mouvements résolument novateurs.