Denise Naafa a offert un déjeuner de presse le 08 Décembre à Yaoundé

Il devient presqu’impossible de traverser le cœur de la capitale politique Yaoundé, sans croiser des affiches géantes présentant une sublime fille avec à sa main une carte de l’Afrique. Une belle image alors qui vous oblige presque à vous arrêter ne serait-ce qu’un instant pour contempler son contenu et ce symbole fort ; en effet, dans sa nouvelle galette de 6 titres « Mon émoi », un hommage fort est rendu à l’Afrique à travers la chanson phare « On est africain », titre dont le vidéogramme tourne en boucle dans la quasi-totalité des chaînes locales, ainsi qu’à l’international. Son site officiel www.denisenaafa.com ne révèlera pas le contraire, avec plus de 25000 visites déjà en un mois seulement. Ce Samedi 8 Décembre donc, il était question de poursuivre ce travail qui à la base présageait de meilleurs auspices. La table d’honneur, constituée du manager de Denise Naafa, Bihina Dominique, son conseiller juridique Me Awono Hyacinthe, du communicateur Alain Dexter et du journaliste Pierre Célestin Atangana, n’aura elle aussi rien d’impertinent. Denise est très bien encadrer, et c’est peu de le dire. C’est avec une petite prestation qu’elle signera son entrée dans la salle, quoiqu’avec une légère timidité, « un bon signe en tout cas », pensaient certains… Message d’éveil des consciences, mais aussi diversité de rythmes et de styles, l’album Mon émoi de Denise Naafa est un puissant cocktail à consommer bien sûr sans modération… Du très cadencé On est africain au gospel Beautyfull Son (où elle dénonce les entraves de la vie) en passant par du Makossa Every body dance, du RnB Soul Ma Collègue (où elle fustige les coups bas dans nos bureaux), ou encore Je vous aime (titre dédié à ses parents), cet album est bien partie pour connaitre un succès certain. Mais Denise Naafa c’est aussi une dame de cœur ; son envie de se consacrer aussi à l’humanitaire ne surprend guère ceux qui la connaissent depuis un bon bout. Après la sortie en grande pompe de son album, elle a décidé de créer une association qui porte le nom « Fonds Denise Naafa » dont le financement servira à produire ses œuvres et l’autre partie récoltée sera consacrée à la promotion de jeunes talents mais démunis et sans soutien. Ceux qui aiment et apprécient ce que fait Denise Naafa sont d’ores et déjà invités à verser leurs contributions en faisant un virement au numéro de compte : 1000 2000 3772 2193 2300 090 domicilié à la SCB Cameroun Yaoundé, et prenez la peine de préciser Pour le compte de Denise Naafa. Son avocat Me Awono Hyacinthe ne manque pas de féliciter la jeune demoiselle et encourage son professionnalisme : « cela n’est pas dans les habitudes de nos artistes de se faire assister par des experts dans tous les domaines, voilà pourquoi ils connaissent aujourd’hui tous les déboires (…) le rôle de mon cabinet est d’apporter à Denise Naafa tout l’encadrement juridique dont elle a besoin pour que sa carrière artistique se déroule sans anicroche », a-t-il dit.

Contacts : 22 75 44 76 / 22 71 10 23

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