Dans deux ouvrages édités par les éditions Nouvelle d’Afrique, l’auteure présente les péripéties de la vie.
« Au prix du sang » et « la révolte des morts » sont deux ouvrages de Blanche Montigny qui viennent de paraitre dans les bibliothèques. Ces deux œuvres ont en commun la célébration du travail dur et de la victoire du bien sur le mal. Dans un français facile à appréhender, l’auteure à travers les vies de plusieurs protagonistes donne son point de vue sur les difficultés de la vie, la méchanceté humaine et la paresse.
Le premier ouvrage « Au prix du sang » met en vitrine un protagoniste, Beret Rouge, un égoïste, avare et paresseux qui dès sa tendre enfance avait été initié par son grand-père à la sorcellerie. Partisan de moindre effort, il s’appuiera sur cette pratique plus tard pour s’enrichir en offrant en sacrifice les membres de sa famille dont son grand père. Ceci à travers les pratiques occultes. Rien n’arrête plus Beret Rouge dans ses pratiques occultes ; dans la vie sociale tout lui réussit. Ses actes de méchancetés se multiplient de jour en jour. Il passe de sacrifice humaine, à l’inceste avec ses progénitures issues de ses relations avec plusieurs conquêtes. C’est Bianca une de ses nombreuses concubine qui mettra fin à ce mal. « Au prix du sang », est l’illustration même de l’adage qui dit qui crache en l’air le reçoit en plein figure.
Le second ouvrage « la révolte des morts », qui par son titre pourrait laisser croire à une histoire métaphysique, présente plutôt la vie de plusieurs protagonistes, dont la vie n’a pas été tendre pour eux. Dont les méchancetés humaines ont anéanti leur vie, mais malgré l’adversité, ils n’ont pas baissé les bras, ils n’ont pas perdus espoir. Et un jour le soleil s’est levé sur leur vie. Ceci grâce au soutien l’héroïne principal Bianca, une autre victime de la maltraitance familial qui a su se relever. A travers cet ouvrage Blanche Montigny démontre combien il est impératif d’avoir une société où l’amour du prochain et la solidarité dans les familles prévalent sur l’amour du matériel et du gain égoïstes.
Blanche Montigny née Essougou est une écrivaine Franco-camerounaise résidant à Paris. Elle est une assistante maternelle qui en 2016 a mis sur pied une association « Pain de l’Amitié » pour venir en aide à tous les opprimés du monde.
Eliane Sara Nématchoua
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