Nyang Nyang Mebée va en croisade contre l’infidélité, ce fléau qui détruit les couples

Qui a dit que le Bikutsi était mort ? L’artiste Nyang Nyang Mebée vient de démontrer aux détracteurs de cette belle musique que ce rythme venu des forêts équatoriales a encore des beaux jours devant lui. Si la jeunesse préfère aujourd’hui se lancer dans les musiques urbaines, Nyang Nyang Mebée suit les pas de Messi Martin, Zanzibar, Atebass, K-Tino, Lady Ponce, Coco Argentée, Mani Bella….
Son single « Le Virus de l’Amour » tube en devenir, Bikutsi pur et dur traite d’un sujet sensible : l’infidélité des femmes, ce fléau qui détruit les couples. Nyang Nyang Mebée se met dans la peau d’un cocufié. « Dans cette chanson, je traite un sujet sensible qu’est l’infidélité des femmes. Le cocufié que j’incarne se lève le matin va au boulot, en chemin, il a eu un malaise et décide de rentrer chez lui. Arrivé chez lui, il trouve la porte fermée. Il tend les oreilles, il entend sa femme gémir. Quand, il ouvre la porte, il trouve un homme sur sa femme. Tu lui donnes 2000frs, elle prend, tu lui donnes 5000frs, elle prend… ».
Une histoire vécue ? L’artiste ne s’étale pas sur le sujet. Le clip est disponible, regardez-le et faites-vous votre propre idée.
Nous espérons qu’après « Le Virus de l’Amour », Nyang Nyang Mebée va se pencher sur l’infidélité masculine qui est plus violente et plus rependue.
« Le Virus de l’Amour » a été produit par le label le label les Éditions Clémencia.