Il est aussi revenu sur l’admiration qu’il porte au jeune rappeur qui selon lui, a du génie et lui ferait penser à lui-même.
Vous ne teniez pas en place tout au long du spectacle, quel a été votre sentiment à ces moments là ?
On va dire, sentiment de satisfaction parce que Valsero est au top de sa forme. Il paraît que ce n’est pas difficile d’y parvenir, mais je dirais que c’est dur de se maintenir. Je trouve qu’il s’en sort bien et le public est toujours avec lui. C’est un jeune qui a des improvisations originales, toujours avec des jeux de mots riches en rimes, qu’il sait teinter d’humour sympathique, sans mettre de côté son style engagé. J’aime ça parce que moi-même je suis engagé dans mes chansons.
Puisque vous parlez de chansons ou de textes engagés, sans mettre en doute leur pertinence biensûr, ne pensez-vous pas que cela pourrait nuire aussi à la carrière d’un artiste ?
Pourquoi ? C’est un choix qu’on fait. C’est vrai que certaines personnes voudront à tout prix le faire, mais ne réussirons pas toujours. Moi j’ai été le premier à chanter contre les pédés en 2002. Mais je suis toujours là et ça n’a pas empêché le fait que je sois resté l’animateur le plus capé de la CRTV. « Délire » par exemple, est une émission d’animation qui a 21 ans… tout ça pour dire que si Dieu t’a fait don d’un talent ou d’un charisme, il faut l’exploiter à fond sans craindre personne. Il y a beaucoup qui n’ont pas ces potentialités là. Je veux parler du don d’écriture qu’a Valsero, ou moi-même, car je fais aussi bien des rimes en français qu’en anglais. Cette capacité, Dieu ne l’a pas donné à tout le monde.
Merci Foly Dirane…
Ça a été un plaisir (rire).
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