A la uneCamerounLifeStyle

Miss Cameroun 2025 : la succession de Njikam Raïssa Noura est lancée

Depuis plusieurs mois, les sélections régionales de Miss Cameroun 2025 sont en cours. Comme à l’accoutumée, le COMICA a débuté le processus par le Grand Nord. Ainsi, les Miss des régions de l’Extrême-Nord, du Nord et de l’Adamaoua sont déjà connues. Le 4 avril prochain, ce sera au tour du Grand Ouest de dévoiler ses reines de beauté.

Un thème engagé : “Formation et autonomisation socio-professionnelle de la femme”

Le choix de ce thème n’est pas anodin. « C’est un sujet d’actualité, autant pour les femmes que pour les hommes. Les jeunes d’aujourd’hui ont besoin d’autonomie, mais aussi d’un accompagnement structuré pour y parvenir. C’est une priorité pour le COMICA cette année. »

Les innovations de cette édition
Depuis quelques années, le COMICA s’efforce d’élever le concours aux standards internationaux. Cette année, la lauréate recevra :

• Un chèque de 7 millions de FCFA

• Un véhicule neuf

• Un appartement

• Un salaire de 100 000 FCFA

• De nombreux autres lots

La 1ère dauphine recevra 2 millions de FCFA et d’autres récompenses, tandis que la 2ᵉ dauphine remportera 1 million de FCFA, en plus de plusieurs cadeaux.
Autre point marquant : le haut parrainage de la Première Dame, Madame Chantal Biya. « Nous lui adressons notre gratitude, ainsi qu’à tous nos partenaires institutionnels et privés qui nous accompagnent. » a déclaré Madame Ingrid Amougou, présidente fondatrice du COMICA.

Un fléau dénoncé : la haine sur les réseaux sociaux
Lors de la conférence de presse de lancement de la 18ᵉ édition de Miss Cameroun, l’organisation a tenu à dénoncer un problème récurrent : la cyber-haine.
« Nous encadrons les candidates afin qu’elles puissent faire face aux critiques en ligne. Nous leur conseillons de rester concentrées sur leur travail, car c’est à travers leurs actions qu’elles finiront par être reconnues. Nous demandons aussi aux familles de les soutenir, car ce n’est pas facile. »

Madame Ingrid Amougou a également partagé sa propre expérience :

« Moi-même, j’ai été victime de cette haine. J’ai dû consulter un psychologue, car je ne comprenais pas ce que je faisais de mal. J’étais insultée alors que j’investissais mon argent et mon énergie dans ce projet. J’ai dû demander au Seigneur de me donner la force de continuer. »

Commentaires

0 commentaires

Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux:

📸 INSTAGRAM: https://instagram.com/culturebeneofficiel
🌐 FACEBOOK: https://www.facebook.com/culturebene
🐤 TWITTER: https://twitter.com/culturebene
📩 EMAIL: culturebene@declikgroup.com
Afficher plus

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page