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Portrait : Honorine Ngountchoup

Née à Ndoungué (dans une banlieue de Nkongsamba) le 03 février 1985, Honorine Ngountchoup  après avoir  suivi ses études, du premier et second cycle, dans la ville de Nkongsamba, s’insscrira pour une année entière en science économique à l’université de Soa (à Yaoundé) et à la demande de son père changera de cap pour la filière d’Informatique Industrielle (à Douala) où elle sortira nantie d’un Brevet de Technicienne Supérieure. Elle complètera son cursus avec une formation de déclarant en douane qui la sanctionnera d’une attestation de fin de formation.

Dès lors, la jeune, belle et non moins ambitieuse Honorine se laisse guider par ses passions ; son  cumule de boulots  (peintre, imprésario, animatrice, comédienne dans plusieurs courts métrages et longs mtrages, et mannequin pour le compte de CICAM) n’est ni plus ni moins qu’une partie de plaisir pour cette dernière.

Son passage dans une entreprise récente, Clientèle Privée Incorporate, lui révèle d’autres talents en termes de relations publiques ; aujourd’hui, Honorine Ngountchoup  se consacre à ses passions qui sont la peinture et la communication et nourri fortement le désir de publier son tout premier essai : « Morale aux jeunes pour demain », un prospectus de lutte contre le SIDA qu’elle avait conçu il y a un bout, mais elle souhaite également réaliser des films et dessins animés africains, des expositions d’art  et enfin construire un orphelinat pour venir en aide aux plus démunis.

Habituée des expositions, mais cette fois-là en tant qu’artiste (dans le cadre des évènements culturels de notre peuple BANSOA, et des Cinquantenaires de l’Indépendance et de la Réunification) ; savoir-faire artistique qui lui ouvrira les portes notamment d’une rubrique dans un journal culturel, mais aussi et surtout de nombreux programmes à l’instar d’« IN 2 STREET »,« Féminin Pluriel » et « Conseille-moi » diffusée sur la chaine de télé CANAL 2 INTERNATIONNAL. Mais le meilleur restait à venir.  Honorine est alors sélectionnée en tant que chroniqueuse pour la nouvelle émission de la chaîne, « C’COMMENT ? On est là !!! ».

« De la vie j’ai appris que l’on récolte toujours ce que l’on sème, qu’il faut semer au maximum et essentiellement de bons grains », confie-t-elle ; loyale, sociable, très directe, ambitieuse, auditrice et ingénieuse, des qualités et… défauts qui pour elle, sont véritablement des principes. Autrement, vous ne faites pas bon ménages : « Je déteste plus que tout que l’on me mente et me manque du respect, ou que l’on me dénigre ou les autres ».

Sa vie associative, reconnait-elle,  a beaucoup contribué à cette façon de voir le monde : « J’ai été membre de 2 associations : l’ENFANCE JOYEUSE DU CAMEROUN  et L’ASSOCIATION DES JEUNES ELEVES ET ETUDIANTS BANSOA, et aujourd’hui membre de l’ACPD (Association Civique de Participation au Développement) et membre du comité d’organisation du festival Bansoa (Gwouo’o Gwouong Ssa’a) ».

En plus du français, Honorine parle moyennement l’anglais et l’espagnol. Pour reconnaitre ses œuvres, la belle signe sur ses toiles « honry  » et au microphone, « honry latoîle ».

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Un commentaire

  1. Je suis fier de toi et je le serai toujours t’es une brillante artiste. Par ton engagement et la qualité de ton travail et des sacrifices que tu y pourvois, je sais que tu iras loin. Nous sommes le reflet de la jeunesse forte et à valoriser de l’Afrique, du Cameroun mais surtout du village Bansoa. Keep fighting. We will go to zion. #THE_SHY

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