A la uneMusique

Mani Bella nous dit « STOP » dans son tout nouveau single

La pala pala woman ou encore l’Anti-Kongoss s’est offerte à la presse nationale hier Vendredi 18 Septembre à l’objet de la présentation de son tout dernier maxi single « STOP », du côté du Centre Culturel Camerounais, choisi dans un élan patriotique. Mani Bella, restée égale à elle-même, reconnaissait alors dit haut ce que les gens pensent tout bas…

Il y avait du monde hier Vendredi 18 Septembre au Centre Culturel Camerounais ; même un concert dans ces lieux n’aurait drainé autant d’âmes ! Toute la famille médiatique y était fortement représentée, non seulement dans le but de souhaiter une bienvenue à cette digne ambassadrice du bikutsi, mais aussi et surtout, s’imprégner de sa toute dernière livraison musicale aux élans audacieux. Sur le panel pour défendre bec et ongles ce projet, Mr. Ivo (modération), Serge Rodrigue Eyebe (Stratégie de communication), un représentant de la plateforme de vente en ligne JUMIA.CM, Bertrand Eba (Arrangeur et Producteur) et l’artiste elle-même. Dans une émotion à peine voilée et offrant gracieusement son plus beau sourire, Mani Bella prendra la parole pour le mot de bienvenue à la presse. Rassurer par le surnombre de cette dernière dans la salle de spectacles qui accueillait ladite conférence, elle en perdait son latin…

Le maxi single brièvement présenté par l’ensemble du panel nous sera servi de façon concrète à la suite des différentes allocutions ; une vidéo projection nous présentant le clip (en promotion) du titre STOP ne laissera personne de marbre, et nous aurions en écoute le second titre QUI CHERCHE TROUVE (son vidéogramme étant en cours de réalisation). De la qualité –impeccable- du son, en passant par la résolution parfaite de l’image (un travail du jeune mais non moins grand réalisateur ADRENALINE TCHAKAP), et les thèmes abordés nous conforteront dans la mesure où beaucoup estimaient qu’il fallait énormément de boulot afin que cette féline de la musique camerounaise puisse rester au top. Hissé en tête des hits sur le continent grâce à son titre-phénomène PALA PALA, Mani Bella ne se devait pas alors de faire un faux pas. Même les aînés, Foly Dirane et l’intraitable Edgard Yonkeu donneront leur bénédiction. Edgard Yonkeu ira jusqu’à emettre le souhait de travailler avec l’équipe Mani Bella dont il précisera être UNE ETOILE du continent à prendre très au sérieux, une bénédiction pour la musique camerounaise. Très modeste, Mani qui répondait à la question d’un confrère en référence à son statut de Queen, martèlera qu’elle n’est et ne sera jamais une Reine dans la musique ; la belle pestera ces pseudos ne l’ont jamais intéressés et qu’elle se considère purement et simplement comme une artiste et une ambassadrice de la musique africaine et camerounaise en particulier. Dans ses deux principaux titres qui constituent son nouveau bébé musical : STOP et QUI CHERCHE TROUVE, on a la nette impression que l’artiste et son arrangeur s’y sont donnés à fond, non sans audace et savant dosage d’innovation : « Les ancêtres du Bikutsi peuvent en être fier car ce rythmes se positionne désormais à l’international et a son mot à dire dans le concert de la musique mondial », allèguera Bertrand EBA. Des influences hiphop pour mettre d’accord la masse jeune, et d’autres saveurs musicales pour élargir le champ-mélomane, Mani Bella aurait trouvé « la » recette pour maintenir sa renommée internationale, voire, la booster au mieux. Restée dans sa logique d’anti-kongoss (antidote contre les médisances), Mani la belle condamne avec la dernière énergie ceux-là qui trouvent toujours à redire lorsqu’une jeune fille (comme elle) réussie sa vie. Pour ces « hypocrites », une femme qui a réussi n’a pu y arriver qu’à la sueur de ses fesses (expression camerounaise). Dans le titre STOP, Mani Bella conte l’histoire de cette jeune fille des quartiers difficiles qui, armée d’objectivité, de détermination et d’opiniâtreté, a bravé la misère de ses parents, le chômage (malgré tous ses diplômes) et les « pièges de la vie » pour réussir : « Ne m’appelez plus WAKA (encore dit VENDEUSE DE PIMENT pour désigner une prostituée) car j’ai bossé dur pour arriver où je suis », y chante alors MANI BELLA. Dans ce titre STOP, Mani s’est prêtée au « slam » (du rap parlé) et son bikutsi y prend une nouvelle direction. Une innovation qui tutoie l’audace que nous avons soulignée plus haut. Dans l’orchestration de cette galette musicale, on retrouve des tels Michel Mbarga, Tonton Ebogo, et Jules ESSOUA aux guitares, Brice Eya’am à la basse, Godé Manda aux percussions, et l’incontournable et magique Bertrand EBA aux arrangements. Le cd ne coûte que 1000 f cfa et est aussi disponible sur la plateforme www.jumia.cm .

Contacts :

Booking : 00 237 699 862 992 / 00 44 777 639 5588 ou booking.manibella@gmail.com et bikutsiattitude@gmail.com

Communication : 00 237 670 11 71 36

Facebook : MANI BELLA OFFICIEL

Twitter : @manibella4ever

Youtube: MANI BELLA OFFICIEL

 

Commentaires

0 commentaires

Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux:

📸 INSTAGRAM: https://instagram.com/culturebeneofficiel
🌐 FACEBOOK: https://www.facebook.com/culturebene
🐤 TWITTER: https://twitter.com/culturebene
📩 EMAIL: culturebene@declikgroup.com
Afficher plus

Articles similaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Bouton retour en haut de la page