
Pour lui le succès c’est avant tout le compte en banque. D’ailleurs, à chacun sa façon de quantifier son succès ; Eddie Murphy se moque de la réussite, ce qui compte ce sont les billets verts. Tant qu’il est payé, surtout grassement, l’acteur est content et peu importe si public il y a ou pas…
Il est aujourd’hui père de neuf enfants ; une situation qui n’a fait que l’éloigner des feux de projecteurs. De plus en plus invisible lors de grands rendez-vous, force est d’avouer que l’accumulation d’échecs au box-office depuis ces dernières années ne lui a pas rendu service. Shrek 4 lui aura permis toutefois de rester d’actualité… Mais le manque d’humilité de l’acteur lors des interviews pourrait également justifier notre analyse : « À mes yeux je n’ai jamais fait de flops, ni de films qui n’ont pas marché. Si j’ai fait le film, et qu’il m’ont payé plein, plein d’argent pour le faire, alors c’est un putain de carton ! Tous les films dans lesquels je suis et pour lesquels j’ai touché plein de fric sont des putain de cartons. Et pour être parfaitement honnête, chez moi, on célèbre Pluto Nash. On ne fête pas Noël, on fête le Pluto Nash Day. On ne fête pas Halloween, on fête Un Vampire à Brooklyn », avait-il retorqué à un journaliste du Hollywood Reporter.
Suite à ces propos, à moins que l’acteur ne soit en pleine prise de tête, il est évident que ce qui compte pour lui se sont les dollars. Une vision mercantile du succès qui tombe plutôt bien, car il est l’un des comédiens les mieux payés d’Hollywood.Un avis que ne partage cependant pas le magazine Forbes, qui classe l’acteur d’ « Un prince à New-York » (1988) parmi les moins rentables du cinéma.
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