C’est le moral au beau fixe que le tennisman français arrive au Masters 1000 de Paris-Bercy. Deux raisons à cela : ses dernières bonnes performances aux tournois de Shanghai et de Vienne et surtout l’annonce de la grossesse de sa campagne Noura ! Oui, le numéro 13 mondial va être papa au printemps prochain.
Il le dit, en est même persuadé, “oui“, sa future paternité prévue pour le printemps peut le rendre plus fort en 2017. Une formidable nouvelle d’un point de vue tennistique si l’on considère que Novak Djokovic et Andy Murray ne perdent plus un match depuis qu’ils sont devenus père.
Mais en attendant éventuellement de succéder à Yannick Noah en mai prochain sur l’ocre de la terre battue de Roland Garros, Jo-Wilfried Tsonga le sait, un enfant, “ça renverse certaines priorités“. Alors comme il vient de le confier au journal L’Equipe, il se prépare à devoir “faire des choix“ dans sa saison. Peut-être au détriment de l’équipe de France et de la Coupe Davis : “C’est évident que je ne vais pas pouvoir faire une année où je ne serai pas auprès de Noura et la laisser gérer cela toute seule“, souligne-t-il à l’évocation du rendez-vous de Yannick Noah et ses hommes avec le Japon pour le premier tour, en février prochain.
Car priorité à la famille désormais ! Et si Noura El Swekh, sa compagne aussi discrète que ravissante lui donne des ailes depuis plusieurs années maintenant, l’arrivée d’un bébé pourrait bien enfin lui permettre de les déployer totalement.
“Je suis presque convaincu que pour moi, cela va être quelque chose de très positif et que ça va me donner encore plus envie de bien faire. (…) Ce qui est sûr, c’est que ça ne va pas entamer mon envie sur les tournois où je serai présent. Les deux sont vitaux pour moi. Avoir un enfant, c’est quelque chose dont j’avais envie depuis toujours. » Et Jo-Wilfried Tsonga d’avouer, plus loin : “Aujourd’hui, on peut dire que je suis comblé.“
Alors la naissance de son premier enfant sera-t-elle un déclic, peut-être celui qu’il lui faut pour enfin décrocher le graal d’un titre en Grand Chelem ? “En tout cas, répond-il, depuis que je suis au courant, j’ai l’impression que tout va dans le bon sens. Quand on commence sa carrière, il n’ y a souvent que le tennis qui compte. Mais avec la maturité, on se rend compte que la vie est faite de plein d’autres belles choses et qu’il n’y a pas que la victoire qui prime sur tout. Pour ma part, maintenant c’est le bien-être qui prime. Bien sûr, parfois, le bien-être passe par une victoire, mais aussi par une nouvelle comme celle-ci.“
Souhaitons désormais qu’au fur et à mesure que la vie arrondit le ventre de sa bien-aimée, le Manceau de 31 ans monte dans le classement jusqu’à pourquoi pas, la victoire finale au mois de mai prochain à Roland Garros sous les yeux de sa femme et de son bébé, un moment dont il a toujours rêvé.
Avec Gala.fr
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