Tu as présenté le concours cette année, et tu as été surclassée au niveau 2 ; une évolution plutôt favorable…
Oui, et j’en suis conscient. C’est cette année que j’entre et on a jugé mon niveau haut, alors on m’a surclassé. Mais je compte faire encore mieux.
Durant ces trois mois, qu’as-tu appris de plus sur ton style ?
Je vais dire l’estompage, la maniabilité du crayon, bref tout ce qui est plus technique quoi. J’en ai vraiment besoin.
Tu comptes en faire un métier demain ?
Pourquoi pas… déjà, le dessin je l’ai dans le sang, alors en faire métier ne serait pas si mal.
Comment tes parents conçoivent cette option ?
Au début ils étaient très réticents, mais je crois qu’ils ont compris que j’aime bien ça, alors ils s’adaptent. Ils ont vu que j’ai réussi au concours, alors ils ont décidé de m’inscrire dans une école de dessin. Ils sont d’ailleurs présents aujourd’hui pour me voir remporter mon prix.
Tes dessins portent un message plutôt atypique, vue ceux des autres ; pourquoi avoir orienté ton choix sur ce thème ?
C’est qu’un jour je regardais une émission qui traitait du phénomène de repassage des seins das nos sociétés ; alors j’ai décidé d’en faire le thème central dans mes dessins, mais beaucoup dans un élan de sensibilisation, car j’estime que c’est pas bien du tout. Donc dans mes dessins, je raconte l’histoire d’une jeune fille qui se faisait repasser les seins par ses parents, et un jour un homme qui était médecin est arrivé au village, stupéfait par cette réalité, il décide de soigner la jeune fille ; finalement tout le monde était content.
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