Un enseignant bat à mort son épouse

La jalousie serait le mobil de cette affaire, selon notre confrère d’ABK radio.

Selon le récit de notre confrère, Moussa Chouarupouo Ndassa, enseignant de Droit à l’université de Douala dans la capitale économique camerounaise a violemment battu son épouse et mère de ses 4 enfants, la nommée Bousseina Nsangou.

En effet, en couple depuis des années, mais en séparation de corps depuis 8 mois avec sa compagne de longue date, monsieur Moussa a trouvé mieux de se taper une nouvelle petite avec qui il s’offrait du bon temps au domicile conjugal. C’est ainsi que dame Nsangou va les surprendre alors qu’elle venait chercher un document dans la chambre.

Prise de jalousie, dame Nsangou va s’opposer à la démarche de son mari. Une opposition qui lui sera fatale dans la foulée. Elle sera violemment tabassée et blessée à la tête et au visage. Elle est actuellement selon notre confrère, dans un hôpital de la ville de Douala pour des soins.

Ce que dit l’ONU Femmes à propos de la violence à l’égard des femmes

Selon ONU Femmes, La violence à l’égard des femmes et des filles constitue une atteinte grave aux droits fondamentaux. Ses conséquences sur la santé physique, sexuelle et mentale des femmes et des filles sont multiples ; elles peuvent être immédiates ou de long terme, et incluent la mort.

Ainsi, le droit des femmes à vivre à l’abri de la violence est défendu par des accords internationaux tels que la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF), tout particulièrement par le biais des Recommandations générales 12 et 19, et par la Déclaration des Nations Unies sur l’élimination de la violence contre les femmes de 1993.