Après « Minga et la cuillère cassée », Claye Edou nous entraîne dans une nouvelle aventure cinématographique, à savoir « Le mystère de Waza », son 2e long métrage d’animation. Comme pour son premier film d’animation 100 % local, Claye Edou, le réalisateur a voulu mettre en avant la richesse culturelle du pays.
Alors qu’il sortira en salles en juin prochain, le tout nouveau film de Cledley Productions, « Le mystère de Waza », a déjà été sélectionné au FFAA 2024 ! Le film d’aventure tant attendu a été sélectionné pour la 7e édition du FFAA (Festival du Film d’Animation d’Abidjan) qui se tiendra en Côte d’Ivoire du 29 Avril au 5 Mai.
L’intrigue de « Le mystère de Waza » porte sur un groupe de quatre amis qui décident d’aller faire une randonnée au parc Waza, dans la région de l’Extrême Nord du Cameroun. Mais leur visite ne va pas se passer comme il l’avait prévu. En attendant la sortie officielle en salle de ce deuxième film d’animation produit au Cameroun par Claye Edou après « Minga et la cuillère cassée », vous pouvez regarder la bande annonce ici : https://web.facebook.com/wazalefilm
A propos de Claye Edou
Directeur du studio Cledley Productions, Claye, après des études de génie agro-industriel et en comptabilité/Finances, a travaillé comme contrôleur de gestion dans 2 multinationales tout en s’adonnant à ses passions de toujours, le dessin et la musique. Il a participé à plusieurs expositions en tant que portraitiste et exercé en tant que chanteur dans plusieurs orchestres et chorales.
Sa passion pour le cinéma d’animation le pousse à se lancer dans la réalisation de son premier long métrage 100% camerounais pour lequel il a écrit le scénario, dessiné le story board, participé à la conception des chansons et a assuré le doublage d’un personnage secondaire.
Il a toujours été fan des séries animées qui étaient diffusées à la télévision et lorsque qu’il a découvert les classiques « Merlin l’enchanteur » et « La belle au bois dormant » produits par Walt Disney, cela a provoqué un déclic. « Je suis devenu immédiatement fan des longs métrages d’animation. D’ailleurs, dans les années 90, je me faisais un devoir de me rendre au cinéma le Wouri à chaque fois qu’un tel film y était projeté. En parallèle je me suis mis à chasser toute la documentation disponible sur les techniques d’animation », confie-t-il.
L’industrie de l’animation n’est pas encore très développé au Cameroun, mais de plus en plus de studio se forment de plus en plus de jeunes s’intéressent notamment Cledley productions. Et nous pouvons espérer sans aucun doute que beaucoup de films de qualités seront produits dans les années à venir.
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