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Janet Jack­son : sa mère à l’origine de son divorce d’avec Wissam Al Mana 

Elle en est tombée amou­reuse et s’est éloi­gnée de lui, dans les deux cas dans le plus grand secret. Cinq ans après son mariage avec Wissam Al Mana et trois mois après la nais­sance de leur fils Eissa, Janet Jack­son reprend sa liberté. Inspi­rée par sa mère Kathe­ri­ne…
Elle a déjà démé­nagé ses affaires de la maison qu’elle parta­geait avec Wissam Al Mana à Londres. Invi­sible ces derniers mois, elle multi­plie les séances shop­ping pour meubler un nouvel appar­te­ment qu’elle s’est déni­ché dans la capi­tale anglaise. Des badauds l’ont même vue pous­ser le landeau de son fils, Eissa, dans un parc, récem­ment. Ce mardi 11 avril, l’an­nonce de son divorce d’avec son milliar­daire quatari, trois mois après celle de la nais­sance de leur petit garçon, a pris tout le monde de court. Sauf Janet Jack­son.

Alors que certains avancent une rebel­lion de la chan­teuse de 50 ans contre le mode de vie que son époux aurait cher­ché à lui impo­ser avec de plus en plus d’au­to­rité, la petite dernière du clan Jack­son – certes conver­tie à un islam rigo­riste, rhabillée avec une pudeur qu’on ne lui connais­sait pas et claque­mu­rée la plupart du temps à Doha, au cours des cinq dernières années – aurait repris sa liberté pour une raison plus fami­liale.

C’est, selon d’autres sources, l’in­sen­si­bi­lité de Wissam au sort de sa belle-mère Kathe­rine Jack­son, vieille dame de bien­tôt 87 ans, sous la coupe d’un neveu tortion­naire et racket­teur, qui aurait bien davan­tage décidé Janet à mettre fin à leur vie conju­gale.

Dernière née de la fratrie Jack­son, Janet a toujours entre­tenu une rela­tion parti­cu­lière avec sa mère Kathe­rine, qui l’a défen­due des taqui­ne­ries de ses frères sur son poids, quand elle était enfant, puis des velléi­tés de mana­ge­ment à la schlague de son père Joseph, quand elle s’est lancée dans la chan­son à 16 ans. Epouse de l’ombre et du silence, assu­mant ses respon­sa­bi­li­tés de matriarche malgré le carac­tère iras­cible et les nombreuses infi­dé­li­tés de son mari, Kathe­rine Jack­son s’est souvent déso­lée de la propen­sion de sa fille à divor­cer aussi spon­ta­né­ment qu’elle s’était mariée – avec le chan­teur cocaï­no­mane James DeBarge, en 1984, puis avec l’ob­ses­sion­nel compos­tieur-réali­sa­teur de clips René Elizondo, en 1991. Mais elle a toujours pardonné à Janet sa quête hasar­deuse du grand amour. La mort de Michael, le 25 juin 2009, la santé décli­nante de Kathe­rine et les frasques de Joseph avec de jeunes danseuses exotiques à Las Vegas les ont rappro­chées encore plus.

Janet s’est-elle jurée de ne jamais se lais­ser empri­son­née dans une vie de couple aussi misé­rable que celle de sa mère ?Avant d’épou­ser Al Mana, héri­tier d’un empire diver­si­fié dans le luxe, l’au­to­mo­bile et l’im­mo­bi­lier, en 2012, la chan­teuse aurait pris soin d’adjoindre deux clauses à leur contrat prénup­tial. La première lui garan­tis­sant 100 millions de dollars, en cas de rupture après cinq ans de mariage. La seconde rajou­tant 100 millions supplé­men­taires, si elle donnait nais­sance à un enfant.

Maman céli­ba­taire, après cinq ans de vie conju­gale, Janet – à la tête d’une fortune person­nelle esti­mée à plus de 150 millions de dollars – est une femme libre… et poten­tiel­le­ment richis­sime. Assez en tous cas pour subve­nir à ses besoins, ceux de son fils Eissa et ceux de sa mère adorée.

Avec Gala.fr

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