
Ce jeudi 28 février aux ateliers 4 s’est déroulée la rentrée culturelle du Synamurca (syndicat national des acteurs des musiques urbaines du Cameroun), pour l’occasion un master class a été organisé autour du thème « droits d’auteurs et droits voisins quelle utilité pour les créateurs ?» de ce fait Njock Samuel a pris part activement aux travaux. Ainsi, il a bien voulu nous signifier son avis au terme desdits travaux.
À l’explicit de la rentrée culturelle du Synamurca qu’avez-vous retenu ?
-Njock Samuel : D’abord quelque chose d’origina, chaque fois qu’une année commence et qu’on a les objectifs, il faut se particulariser et c’est le cas du Synamurca. Lors de cette rentrée culturelle, les acteurs de la musique urbaine ont montré qu’il y’a pas seulement le divertissement, ils sont capables d’entreprendre, de réfléchir, d’élargir le champ d’action en apprenant comment ils vont protéger leurs droits d’auteur, c’est à ce titre que j’ai participé à ce master class. Et j’ai constaté que ces derniers ont la soif de connaître en sortant des canaux des réseaux sociaux, en discernant le vrai et le faux dans la répartition des droits d’auteur. Nous souhaitons ainsi que tous les artistes, compositeurs, musiciens et éditeurs de musique soient à l’intérieur de la SONACAM.
En cette année 2019 qu’est ce que les artistes urbains peuvent t-ils espérer de la SONACAM ?
– Njock Samuel : Déjà ils sont nombreux ces artistes de la musique urbaine à siéger dans la direction de la SONOCAM, toutefois, il faudrait que leurs représentants augmentent, il faut le dire lors de la création de cette société collective de droits d’auteur certains acteurs de la musique urbaine ont eu à trainer le pas. Ainsi, lorsqu’ils vont adhérer massivement dans cette structure, ils auront leur dû comme tous les autres artistes.
Par Yahaya Idrisse
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