Accusé de maintenir captives des jeunes femmes dans une secte, R. Kelly dément

La rumeur a fait tour de la toile; le chanteur américain R. KELLY aurait maintenu des jeunes femmes en captivité, avait-on appris.

Suite à ces révélations folles du site Buzzfeed, la star du RnB US, très offusqué, a donc démenti hier lundi 17 juillet les accusations selon lesquelles il maintiendrait six jeunes femmes en esclavage, contrôlant tous les aspects de leur vie :

« M. Kelly dément fermement ces accusations et s’emploiera assidûment et énergiquement à poursuivre ses accusateurs et à laver son nom », a mis au clair son avocate Linda Mensch dans un communiqué. Ladite enquête publiée sur l’auteur de I WISH, lundi dans Buzzfeed News, l’aurait complètement bouleversé et abattu. L’on y apprenait entre autre que six jeunes apprenties musiciennes vivraient dans une maison près d’Atlanta et dans un studio à Chicago sous la domination totale de R. Kelly, qui leur promettrait de les aider dans leur carrière. Le journal n’hésitera pas de surnommer R. Kelly le « maître en contrôle mental » en prenant exemple sur Cheryl Mack, une ancienne assistante de la star ; le chanteur déciderait ce qu’elles mangent, les vêtements qu’elles portent et aurait des relations sexuelles avec elles. Entre autres exigences, elles seraient obligées de se mettre debout face au mur quand d’autres hommes se trouvent dans la même pièce…

Le scandale ayant éclaté, les parents d’une des victimes présumées ont tenu une conférence de presse, hier lundi 17 juillet, devant la maison du chanteur à Atlanta, et ont affirmé que leur fille, âgée de 22 ans, avait coupé le contact avec eux. Ces derniers ont même affirmé que leur fille a subi un grave lavage de cerveau. La mère, Jonjelyn Savage, aboutera que : « Nous voulons juste qu’il la relâche et la laisse poursuivre sa vie ». Des allégations craves, que va réfuter l’intéressée dans une interview vidéo au site people TMZ, où elle indiquait mener une vie très heureuse.