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  • « Tromper ma femme avec une autre fut une bénédiction pour moi », dixit Diamond Platnumz !

    La star tanzanienne Diamond Platnumz a fait des révélations sur une de ses anciennes relations. Il est revenu en 2017 lorsqu’il avait trompé sa fiancée et mère de ses deux enfants aînés avec une autre qui est tombée enceinte de lui. Le chanteur fait savoir qu’il ne regrette pas d’avoir trompé Zari Hassan. Diamond Platnumz avait fini par reconnaître son acte de trahison et le considère comme une bénédiction déguisée. Dans une interview de 10 minutes avec la BBC, la star a déclaré qu’il ne regrette pas d’avoir trompé Zari Hassan avec Hamisa Mobetto. « Je pense que tout ce qui se passe dans la vie, vous aide à grandir à l’avenir et Dieu a différentes façons de faire. Il peut vous présenter un défi pour faire de vous une meilleure personne donc il n’y a pas besoin de paniquer, d’avoir des remords ou d’être triste », a-t-il déclaré. Diamond n’a pas hésité à soutenir financièrement celle qui portait son enfant. «Quand elle est tombée enceinte, je lui ai dit que j’étais père de famille. Je n’aimais pas l’avortement, c’était mon sang. Avant qu’elle n’accouche, je lui ai acheté un Toyota Rav 4 neuf. Je lui donnais une somme de 70.000 shillings ougandais par jour », a-t-il révélé. Diamond Platnumz garde d’ailleurs de bonnes relations avec Hamisa Mobetto, c’est en guise de cela qu’il lui a donné un conseil. « Je ne peux pas haïr Hamisa mais je lui conseille de regarder l’avenir du bébé, car publier sur les réseaux n’aidera pas
  • Débat d’égo : Didier Drogba répond à Samuel Eto’o et El Hadj Diouf

    Après la sortie d’El Hadji Diouf qui a poussé Samuel Eto’o à réagir au sujet du meilleur joueur d’Afrique, Didier Drogba, cité dans l’affaire, est sorti du silence. L’ancien capitaine des Éléphants a répondu à ses confrères… Il y’a quelques temps, El Hadj Diouf, a affirmé avoir été le joueur africain le plus talentueux de sa génération, très loin devant le Camerounais Samuel Eto’o et l’Ivoirien Didier Drogba. Une sortie qui a vite fait réagir le « Grand 9 » qui s’était autoproclamé footballeur le plus talentueux de sa génération. Eto’o a ainsi rappelé à l’ex attaquant de Liverpool que ni lui ni Drogba, ne lui étaient comparable sur le plan footballistique. Sorti de son silence, L’ex capitaine des Éléphant de Côte d’Ivoire a lancé un message à ses confrères. « Il (El Hadj Diouf) a le droit de l’expression. Je suis très sage et mon éducation ne me permet pas de répondre. Seul l’UEFA est témoin que l’Afrique a de grands joueurs, et certains font partie des Tops 20 des meilleurs buteurs de l’histoire en ligue des champions… Mes frères Eto’o et Diouf ont été de très grands joueurs, tout comme Ronaldinho à Barcelone. Chacun a son étoile. Aujourd’hui il y a une nouvelle génération de footballeurs; des jeunes frères comme Mané et Salah font des merveilles et pourront faire plus que les anciens joueurs africains. » « Je ne peux pas affirmer aux yeux de tout le monde que je resterai le meilleur buteur africain en LDC. Le monde évolue et il y a encore du talent en Afrique. Je dirai à Eto’o et Diouf d’encourager nos jeunes frères qui évoluent dans de différents clubs pour rehausser le niveau du football africain et de continuer à représenter l’Afrique partout dans le monde. C’est l’Afrique qui gagne », a-t-il conclut. Par cette réponse de Drogba pleine d’humilité, on pense que le débat est clos !
  • La justice rejette une troisième demande de libération de R. Kelly : « Il est un danger pour la communauté » !

    1. Kelly restera en prison. Les avocats du chanteur avaient déposé une demande pour réclamer sa libération en raison du risque élevé de contracter le coronavirus. La demande a été rejetée une fois de plus.
    C’est la troisième fois que son appel à la libération pour des raisons de santé est rejetée par le tribunal. Il est en détention pour des allégations d’abus sexuels, de transmission de MST et d’enlèvement. Dans sa demande de mise en liberté sous caution, déposée au début du mois, ses avocats avaient affirmé qu’il présente un risque élevé de contracter le coronavirus parce qu’il est diabétique. La justice estime que ses raisons de santé ne sont pas suffisantes pour lui accorder une libération sous caution. La juge Donnelly, tout en rejetant la demande de R. Kelly, a déclaré que ses crimes impliquent des abus sexuels sur des mineurs et que de telles accusations ne méritent pas une mise en liberté sous caution. Bien que R. Kelly ait insisté sur le fait que s’il est libéré, il retournerait en Illinois pour y être jugé comme il l’a fait lors de son procès pour pornographie infantile en 2008, le grand jury a conclu qu’il pourrait soudoyer les témoins comme il l’avait fait à cette époque. « Il est accusé dans l’Illinois et à New York de crimes très graves, pour lesquels il risque une longue peine de prison s’il est reconnu coupable », a écrit la juge Donnelly dans sa décision « La nature des accusations qui comprennent des crimes contre des victimes mineures, des menaces contre des témoins potentiels et le versement de pots-de-vin pour empêcher les témoins de coopérer fait de lui un danger pour la communauté, notamment parce qu’il pourrait tenter de soudoyer les témoins potentiels. »
  • Cysoul dévoile OXYMORE ACTE I, son tout premier album autoproduit

    C’est un moment clé dans la carrière de Cysoul. L’auteur-compositeur-interprète camerounais vient d’annoncer la sortie de son tout premier album entièrement autoproduit : OXYMORE ACTE I. Un projet ambitieux, personnel, et profondément enraciné dans sa passion pour la musique et sa volonté de représenter sa culture. « Il est là. Le tout premier album que je produis entièrement. Le fruit de nuits blanches, des mois de travail, de doutes, de remises en question, mais surtout de passion », a-t-il déclaré dans un post sur ses réseaux sociaux. Ce premier opus est le résultat d’un long processus créatif, mené avec détermination et sincérité. Plus qu’un album, OXYMORE ACTE I est une déclaration d’indépendance artistique. Cysoul y explore son univers musical en totale liberté, mêlant sonorités afro, soul, R&B et influences contemporaines. L’artiste n’a pas manqué de remercier les nombreux talents qui l’ont accompagné dans cette aventure : musiciens, techniciens, invités, créateurs visuels et autres collaborateurs de l’ombre. « Des génies qui ont donné de leur talent, leur temps, leur cœur », souligne-t-il avec émotion. Fidèle à sa communauté, Cysoul s’est également adressé à ses fans de la première heure, ‘’ses  Souldiers’’, comme il les appelle : « Merci d’être là depuis le début de ce voyage. » Avec OXYMORE ACTE I, Cysoul ne signe pas seulement un album : il affirme une vision, celle d’un artiste engagé dans la transmission de sa culture au monde entier. Le projet est désormais disponible sur toutes les plateformes de streaming. 🎧 Écoutez-le ici : ruejoss.lnk.to/oxymoreacteI
  • La renaissance du textile traditionnel au Burkina Faso : une fierté culturelle au cœur des écoles

    Dans une démarche audacieuse mêlant patriotisme économique et renaissance culturelle, le Président burkinabé, Ibrahim Traoré a récemment décidé d’introduire les tissus traditionnels locaux dans la confection des uniformes scolaires. Cette initiative inédite marque un tournant dans la valorisation de l’identité nationale et la redynamisation de l’artisanat burkinabé. Un tissu de sens et de symboles Les uniformes scolaires, longtemps standardisés selon des modèles occidentaux, vont désormais porter les couleurs et motifs des tissus traditionnels tels que le Faso Dan Fani, une étoffe emblématique tissée à la main par les artisans du pays. Plus qu’un simple changement vestimentaire, cette décision politique est un acte fort de reconnaissance de la richesse culturelle du Burkina Faso. Elle entend raviver la fierté nationale et replacer le patrimoine textile au centre de la vie quotidienne. Réconcilier la jeunesse avec ses racines Pour les autorités, cette réforme vise aussi à reconnecter les jeunes générations à leur héritage culturel. En intégrant les tenues traditionnelles dans le système scolaire, le gouvernement envoie un message clair : la culture burkinabé est vivante, précieuse et digne d’être portée avec fierté. Les élèves, vêtus d’uniformes confectionnés dans des étoffes locales, deviennent ainsi les ambassadeurs d’une identité nationale partagée. Un soutien concret à l’économie locale Au-delà de l’aspect culturel, cette initiative représente une aubaine économique pour le secteur de l’artisanat. Le tissu traditionnel, produit localement par des coopératives de tisserands et d’artisans, trouve ainsi un débouché durable. La demande accrue pour ces tissus permettra de créer des emplois, de soutenir les artisans et d’encourager la transmission des savoir-faire ancestraux. L’uniforme comme vecteur d’unité nationale Faire des uniformes scolaires un symbole d’identité culturelle commune, c’est aussi œuvrer pour l’unité du pays. En portant une tenue qui incarne la tradition et les valeurs du Burkina Faso, les élèves de toutes origines régionales ou sociales affirment leur appartenance à une même nation. C’est une manière subtile mais puissante de renforcer le tissu social, en tissant – au sens propre comme au figuré – un lien entre passé, présent et avenir. Cette révolution vestimentaire pourrait bien inspirer d’autres pays du continent à embrasser pleinement leur patrimoine textile. Le Burkina Faso, par ce choix courageux, rappelle que les racines culturelles ne sont pas des reliques du passé, mais des piliers pour construire un avenir plus solidaire, authentique et fier de son identité.
  • MBOA PARIS 2025 : le rendez-vous incontournable de la diaspora camerounaise en Europe

    La 3e édition de Mboa Paris, se tient du 28 au 31 mai 2025, au Beffroi de Montrouge en France. A travers des expositions, des ateliers, des animations culturelles et autres conférences, les membres de la diaspora camerounaise en Europe, valorisent les initiatives entrepreneuriales, associatives et culturelles. Le samedi 31 mai 2025, le Beffroi de Montrouge à Paris vibrera au rythme du Cameroun avec la clôture de la troisième édition de MBOA PARIS, un événement grand public ayant pour objectif de valoriser les initiatives entrepreneuriales, associatives et culturelles portées par les membres de la diaspora camerounaise d’Europe. Organisé sous le signe de l’engagement, de l’innovation et de la célébration, MBOA PARIS 2025 s’impose comme une plateforme dynamique réunissant entrepreneurs, artistes, associations, institutions et familles autour d’un objectif commun : connecter les forces vives de la diaspora et promouvoir une vision positive et inclusive du Cameroun à l’international. « La vision de Mboa Paris repose sur l’idée que la diaspora camerounaise, dispersée à travers le monde, peut être une force de développement pour le Cameroun. Cette communauté, riche en expériences et en ressources, est essentielle pour contribuer à l’émergence de leur pays d’origine », résument les organisateurs sur le site internet de l’événement. Un espace d’exposition et d’échange Avec plus de 1000 m² d’espace d’exposition, le salon accueillera des stands de start-ups, entreprises, ONG, créateurs et structures culturelles, tous engagés dans des dynamiques porteuses de sens. Les visiteurs auront l’opportunité de découvrir des initiatives innovantes et de nouer des partenariats stratégiques autour de l’entrepreneuriat, de la culture, de l’éducation, de la santé ou encore des médias. Un programme riche et inspirant Au cœur de l’événement, de nombreuses conférences et tables rondes aborderont des thématiques clés pour la diaspora camerounaise, notamment comment entreprendre entre l’Europe et l’Afrique, les défis de la double culture, le rôle des diasporas dans le développement local, ou encore les opportunités de financement. Des concours et appels à projets mettront également en lumière de jeunes entrepreneurs, artistes et acteurs associatifs, leur offrant une vitrine exceptionnelle et des opportunités de soutien concret. Un rendez-vous familial et festif MBOA PARIS, c’est aussi une ambiance conviviale et intergénérationnelle. Les plus jeunes ne seront pas en reste grâce à l’espace MBOA Kids, proposant des activités éducatives, culturelles et récréatives adaptées aux enfants de 3 à 10 ans. La journée se conclura en beauté par un grand concert de clôture réunissant des stars de la scène musicale camerounaise, telles que Petit Pays, Tenor et Cysoul, pour une célébration haute en couleurs et en émotions. Une diaspora forte, unie et engagée Plus qu’un simple salon, MBOA PARIS 2025 est une déclaration d’intention : celle de bâtir des ponts solides entre les talents de la diaspora et les opportunités sur le continent africain. C’est un appel à l’action pour toutes celles et ceux qui veulent contribuer au rayonnement du Cameroun dans le monde. « Mboa Paris, à travers ce rendez-vous annuel, a donc pour mission d’ouvrir le champ des possibles tant pour les entrepreneurs, acteurs associatifs et culturels, que pour les enfants du Mboa », peut-on lire sur le site mboaparis.com
  • Griedge Mbock nommée capitaine de l’équipe de France

    À un mois de l’Euro 2025, la défenseuse d’origine camerounaise Griedge Mbock a été nommée nouvelle capitaine de l’équipe de France féminine de football. Elle succède à Wendie Renard, qui n’a pas été convoquée pour le rassemblement en cours. « Je me suis entretenu avec les joueuses mercredi et je devais faire un choix. J’ai annoncé que Griedge est la nouvelle capitaine de l’équipe de France. Le choix de Griedge apparaissait de plus en plus comme une évidence », a annoncé le sélectionneur Laurent Bonadei en conférence de presse, jeudi 29 mai. Griedge Mbock, 30 ans et 71 sélections, a ainsi réagi : « C’est une grande fierté et une grande joie, un honneur de pouvoir représenter l’équipe de France. » « Ce n’est pas anodin, ce n’est pas un rôle à prendre à la légère. Je remercie encore Laurent pour la confiance qu’il m’accorde. Je suis aussi bien entourée, il y a des vice-capitaines très importantes avec un groupe élargi de cadres et de leaders », a-t-elle ajouté. Notons qu’au côté de celle qui a longtemps porté le maillot de l’OL, deux de ses coéquipières au PSG sont nommées vice-capitaines : Sakina Karchaoui et Grace Geyoro. La troisième vice-capitaine est Sandie Toletti.
  • L’hommage de l’artiste Locko à son papa, « son héro » décédé un 28 Mai

    Il y a quelques heures, l’artiste Locko a partagé un hommage à son père décédé. Un message poignant, soulignant l’importance de son héritage et l’impact de son père sur sa vie et sa carrière, 🕊️Hier, nous célébrions l’anniversaire du décès de mon père, mon héro; une figure qui m’a façonné et dont je porte fièrement le nom : 𝐋𝐎𝐂𝐊𝐎. Ce nom, c’est mon histoire, mon héritage, et il me tient à cœur. 💜 Je vous donne rendez-vous dans mon live tout à l’heure pour partager plus sur ce qui m’inspire et me pousse à avancer. 𝐑𝐄𝐒𝐓 𝐈𝐍 𝐏𝐎𝐖𝐄𝐑 𝐃𝐀𝐃 ! 🕊️💜 » A-t-il écrit sur ses différents réseaux sociaux. Un message qui a ému les fans de l’artiste.  » Beaucoup de courage reuf…. »; « Il serait fier de toi!!!!! »; « Je me rappelle encore de ce jour où nous sommes venus soutenir notre camarade Stéphane adèle ce jour quittant du LBA à pied »;  » Tonton Ferdy à jamais dans nos cœurs Ce jour-là Repose en paix La fille de Jacky ta sœur », peut-on lire en commentaire. Courage l’artiste !!!
  • « On ne nous a pas tout dit » : Michèle Bilong donne la parole aux silences

    Ce 28 mai 2025 à Yaoundé, s’est tenue, à la salle de convivialité du ministère des arts et de la culture, la dédicace du livre « On ne nous a pas tout dit » de l’écrivaine Michèle Bilong. Présidée par le ministre de la promotion de la femme et de la famille, le Pr. ABENA ONDOA née OBAMA Marie Thérèse, et modérée par Cyrille Bojiko, l’auteure à travers son œuvre, propose un véritable guide pour l’émancipation féminine. Elle encourage les femmes à se libérer des schémas de victimisation, à renforcer leur confiance en elles et à défendre leurs droits. Un message fort et inspirant, qui résonne avec l’actualité. Une voix qui réveille les consciences Connu jusqu’ici pour ses livres jeunesse, notamment « Les aventures de Dodi la tortue », Michèle Bilong change de registre et de ton. Avec « On ne nous a pas tout dit ». Elle adopte une démarche profondément introspective et sociopolitique. Publié aux Éditions Clé, cet ouvrage de 106 pages explore avec justesse et lucidité les réalités souvent tues qui façonnent la vie des femmes dans la société camerounaise. Un message à toutes les femmes L’autrice s’adresse à toutes les femmes – mères, épouses, étudiantes, commerçantes, dirigeantes ou femmes au foyer – et les invite à repenser leur place dans la société. Elle les exhorte à rompre avec les carcans patriarcaux, à s’affirmer, à revendiquer leur droit à la parole, à la liberté, à la dignité. Avec une plume à la fois sensible et déterminée, Michèle Bilong remet en question les normes et traditions qui brident les aspirations féminines. Elle célèbre la force intérieure des femmes tout en appelant à une transformation collective des mentalités. Un ouvrage nécessaire Préfacé par Habissou Bidoung, de regretté mémoire, et postfacé par Jeanne Kengne, « On ne nous a pas tout dit », est bien plus qu’un simple essai : c’est un cri du cœur, une main tendue, un acte de résistance. À l’heure où les débats sur les droits des femmes prennent une ampleur mondiale, cet ouvrage s’impose comme une lecture essentielle pour qui s’intéresse aux dynamiques de genre en Afrique francophone. Femme aux multiples casquettes, Michèle Bilong est diplômée en management et fondatrice d’une école internationale.  
  • Davy Lessouga présente son nouveau livre intitulé : 𝑳’𝒆́𝒄𝒐𝒏𝒐𝒎𝒊𝒆 𝒏𝒖𝒎𝒆́𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒅𝒖𝒔𝒕𝒓𝒊𝒆 𝒎𝒖𝒔𝒊𝒄𝒂𝒍𝒆 : 𝒍𝒆 𝒄𝒂𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒚𝒔 𝒅’𝑨𝒇𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒔𝒖𝒃𝒔𝒂𝒉𝒂𝒓𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄𝒐𝒑𝒉𝒐𝒏𝒆

    Dans un paysage mondial où la musique ne se pense plus sans le numérique, l’Afrique francophone entre de plain-pied dans une transformation profonde et irréversible. Streaming, réseaux sociaux, plateformes digitales : ces outils redessinent aujourd’hui les contours de l’économie musicale, modifiant en profondeur les pratiques de création, de diffusion et de monétisation. C’est à cette révolution silencieuse mais décisive que s’attelle Davy Lessouga dans son nouveau livre : L’économie numérique de l’industrie musicale : le cas des pays d’Afrique subsaharienne francophone. Un livre pour comprendre, agir et valoriser la créativité africaine Cet ouvrage s’impose comme une lecture indispensable pour comprendre les nouveaux modèles économiques qui régissent l’industrie musicale à l’ère digitale. L’auteur y explore : Les parts de marché des grandes plateformes (Spotify, Boomplay, YouTube, Audiomack…) ; Les mécanismes de monétisation numérique ; Les stratégies adoptées par des artistes emblématiques comme Tam Sir, Kiff No Beat, Fanicko, et bien d’autres. À travers ces cas concrets, le livre révèle les réalités — souvent contrastées — de l’économie de la musique numérique en Afrique : promesses d’émancipation pour certains, pièges d’une dépendance technologique pour d’autres. Un public large et concerné Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui souhaitent décrypter les évolutions rapides du secteur musical africain : Chercheurs en économie culturelle et industries créatives ; Professionnels de la musique, du digital, et de l’innovation culturelle ;  Passionnés de technologies et d’émergence africaine sur les marchés globaux. Plus qu’un état des lieux, une réflexion sur la valeur et la justice économique Au-delà des données et des analyses, Davy Lessouga nous invite à une réflexion de fond : 👉 Qui capte réellement la valeur créée par les talents africains ? 👉 Comment construire des écosystèmes plus équitables pour que la richesse générée par la culture bénéficie aux créateurs eux-mêmes ? Un livre à lire absolument Plus qu’un simple diagnostic, L’économie numérique de l’industrie musicale est un appel à l’action, une prise de conscience essentielle pour quiconque s’intéresse à l’avenir de la culture africaine dans l’économie numérique mondiale. Ce livre est à découvrir sans tarder pour comprendre le tournant digital que prend l’Afrique musicale francophone. A propos de Davy Lessouga Titulaire d’un Executive MBA en management stratégique, Davy Lessouga est un  passionné de la transformation digitale. En 2020, il publie Musique et digital en Afrique francophone : perspectives et enjeux, le tout premier ouvrage dédié à cette thématique sur le continent. Après avoir débuté sa carrière comme manager d’artistes, il se tourne rapidement vers le numérique, marqué par le succès retentissant de la chanson « Coller La Petite » de FRANKO en 2015. Cette expérience le conduit à rejoindre l’entreprise israélienne Menta Digital LTD en 2016. Reconnu comme un acteur clé de la transformation digitale appliquée aux industries culturelles en Afrique, Davy Lessouga est régulièrement sollicité pour animer des conférences partageant son expertise à travers l’Afrique et au Canada. Depuis 2018, Il travaille  pour le groupe français Believe comme  responsable Afrique francophone, tout en intervenant comme consultant en économie numérique auprès d’organismes internationaux tels que l’UNESCO.
  • Renforcement de la coopération Cameroun-Canada : Le MINPROFF a accordé une audience au Haut-Commissaire du Canada

    La rencontre a été marquée par des échanges riches et constructifs autour de sujets majeurs, notamment l’évaluation des actions en cours en matière de promotion des droits des femmes, le renforcement de la coopération avec les organisations de la société civile œuvrant dans ce domaine, ainsi que l’identification de nouvelles pistes de collaboration. Le Professeur Marie Thérèse ABENA ONDOA née OBAMA, Ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille, a reçu en audience Son Excellence Madame Lorraine Anderson, Haut-Commissaire du Canada au Cameroun, accompagnée de sa délégation. Cette rencontre, tenue dans la salle de conférences du ministère à Yaoundé, s’est déroulée en présence des directeurs techniques du MINPROFF. Elle s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre le Cameroun et le Canada, en particulier dans le domaine de la promotion des droits des femmes, de l’égalité des genres et du bien-être familial. Les discussions ont porté sur l’évaluation des actions conjointes mises en œuvre en faveur des femmes et des familles au Cameroun, ainsi que sur les perspectives de renforcement de cette coopération. Les deux parties ont exprimé leur volonté commune de continuer à œuvrer ensemble pour améliorer les conditions de vie des femmes camerounaises, en particulier dans les zones vulnérables. Le Haut-Commissaire du Canada a salué les efforts du gouvernement camerounais à travers le MINPROFF, tout en exprimant le souhait du Canada d’accompagner davantage les initiatives locales, notamment à travers des financements de projets communautaires et des partenariats avec les organisations de la société civile. Au terme de cette audience, les deux parties ont convenu de maintenir un dialogue constant et d’approfondir leur partenariat stratégique dans le domaine de la promotion du genre. Des mécanismes de suivi et d’évaluation seront mis en place pour mesurer les impacts concrets des projets et ajuster les interventions en fonction des besoins identifiés. Cette rencontre marque un pas important vers une coopération bilatérale encore plus dynamique entre le Cameroun et le Canada, centrée sur des objectifs communs : l’autonomisation des femmes, la protection des familles, et la construction d’une société plus juste, inclusive et équitable.  
  • Assassinat de Mathis : plusieurs artistes et influenceurs demandent justice

    Alors que la justice camerounaise piétine, des voix s’élèvent, trois semaines après l’assassinat du petit Mathis par le père de Lydol, Nwafo Dagobert. Trois semaines après le meurtre atroce Mathis (6 ans), par Nwafo Dagobert, l’assassin présumé n’a toujours pas été déféré en prison, malgré le flagrant délit. De fait, plusieurs artistes et influenceurs demandent justice. Dans un direct suivi par près de 6000 personnes dimanche 25 mai, l’artiste Maahlox, a fustigé le laxisme de la justice camerounaise, l’indifférence des autorités, des influenceurs et de la société civile et surtout la nonchalance des leaders d’opposition. Une sortie saluée par des milliers de Camerounais, désormais gagnés par la peur de voir les injustices s’installer et la justice populaire prendre le relais dans les quartiers. Comme lui, l’actrice Elisabeth Cynthia dénonce : « Les faits sont clairs. Le mobile est établi. Les témoins sont nombreux. L’arme du crime a été reliée au suspect. Mais Dagobert Nwafo est encore libre. Vous avez été habitués à notre silence. À notre lâcheté. À nos peurs. À notre déni. Mais ne vous trompez pas : nous ne sommes pas idiots. La loi est claire. Les articles 275, 276 et 277 du Code pénal camerounais stipulent respectivement : « Quiconque cause la mort d’autrui est puni de la réclusion à perpétuité. » « Si ce meurtre est prémédité ou sert à couvrir un autre crime, la peine est la mort. » « Le meurtre d’un enfant est une circonstance aggravante » Y’a-t-il eu assassinat ? Oui. Était-ce prémédité ? Oui. La victime était-elle un enfant ? Oui. Pourquoi donc ce complément d’enquête ? Si ce n’est pour gagner du temps, détourner l’attention, préparer éventuellement l’opinion publique à une requalification en homicide involontaire ? La jurisprudence camerounaise doit cesser d’être une mascarade.  Ce scénario est indigeste. Infamie!  Nous refusons qu’un tel crime, commis en pleine capitale, contre un enfant de six ans, soit balayé par des complicités ou des intérêts obscurs. Nous ne nous tairons plus. Nous demandons que l’affaire Mathis soit jugée en urgence. Nous exigeons que le Procureur de la République prenne ses responsabilités. Nous exigeons que le Code pénal camerounais soit appliqué. Si l’affaire Mathis n’aboutit pas, le message que vous nous enverrez sera limpide : nos vies n’ont pas de valeur. Nous le savions déjà officieusement. Mais l’instinct de survie qui nous reste nous obligera à parler, à crier, à nous battre jusqu’à notre dernier souffle. Tout être humain a un droit originel à la vie. Aucun autre n’a le droit de la lui ôter. Nous ne l’intègrerons jamais. Un homme qui perd sa femme est un veuf, une femme: veuve. Un enfant qui perd son parent est un orphelin mais l’académie française n’a jamais su qualifier un parent qui perd son enfant parce que c’est inconcevable. Surtout dans de telles circonstances. Nous appelons les autorités compétentes à agir sans délai. Nous exhortons la société civile à maintenir la pression. Nous exigeons que le procès de Dagobert Nwafo se tienne dans les plus brefs délais, avec toute la transparence requise. Justice doit être rendue: c’est le minimum. Quel que soit le réseau qui protège cet homme sacrifiez-le! Livrez-le! Nous ne nous tairons plus », a-t-elle écrit. Kareyce Fotso, Lady Ponce, Aimée Virgile Makougoum, etc. Tous sont unanimes : « que les autorités compétente rendent justice à ce petit ange parti trop tôt. » Pour rappel, c’est une bagarre entre le père de Mathis et l’assassin présumé qui a dégénéré dans une buvette de Yaoundé le 10 mai dernier. L’homme s’est ensuite rendu au domicile des parents de Mathis, situé près de ce bar, et a assené plusieurs coups de couteau à l’enfant de six ans. Les forces de l’ordre sont intervenues pour soustraire l’homme à une tentative de justice populaire. Et depuis pas de suite….
  • Assassinat de Mathis : Maahlox demande à Lydol de dénoncer son père meurtrier

    Dans un direct sur sa page Facebook, hier, l’artiste Maahlox demande à Lydol, fille de l’assassin Nwafo Dagobert de réclamer justice pour bébé Mathis comme elle l’a fait dans certains cas similaires. L’émotion reste vive, trois semaine après l’assassinat brutal du petit Mathis, un garçon de six ans, tué samedi 10 mai par le père de l’artiste Lydol. L’homme s’en est violemment pris à l’enfant à l’aide d’un poignard. Si l’affaire reste jusqu’ici sans suite, Maahlox demande à Lydol de dire à la population ou se trouve actuellement son père puisqu’il ne se trouve pas en prison. « On est en train de parler de cette histoire, Lydol qui s’est levée ici parce qu’un monsieur a tué sa femme, elle a fait le direct disant qu’elle est ambassadrice de lutte contre la violence. Les gros mots. Ton père a tué, on ne te voit pas dans l’action. On ne te voit pas réclamer la justice. Tu t’es cachée, on demande ou ton père est, tu ne parles pas. Parce qu’il faut que vous tournez la chose et on oublie. Il va se cacher quelque part. Tu crois que s’il va se cacher quelque part, toi tu seras en sécurité ? », s’est interrogé Maahlox dans son direct. Pour Maahlox le fait que Nwafo soit encore en liberté, est un message que la justice camerounaise est en train de passer. « Moi j’ai vu des gens qui sont mort poignardé. Le message que vous êtes en train de passer là, vous ne connaissez même pas. L’insécurité dans laquelle vous allez vivre à Yaoundé, vous ne connaissez même pas. Vous ne connaissez pas ce que vous êtes en train de faire », s’est indigné l’artiste. On espère que son message parviendra aux oreilles de Lydol et de ceux chargés d’appliquer la loi.
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