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  • « Tromper ma femme avec une autre fut une bénédiction pour moi », dixit Diamond Platnumz !

    La star tanzanienne Diamond Platnumz a fait des révélations sur une de ses anciennes relations. Il est revenu en 2017 lorsqu’il avait trompé sa fiancée et mère de ses deux enfants aînés avec une autre qui est tombée enceinte de lui. Le chanteur fait savoir qu’il ne regrette pas d’avoir trompé Zari Hassan. Diamond Platnumz avait fini par reconnaître son acte de trahison et le considère comme une bénédiction déguisée. Dans une interview de 10 minutes avec la BBC, la star a déclaré qu’il ne regrette pas d’avoir trompé Zari Hassan avec Hamisa Mobetto. « Je pense que tout ce qui se passe dans la vie, vous aide à grandir à l’avenir et Dieu a différentes façons de faire. Il peut vous présenter un défi pour faire de vous une meilleure personne donc il n’y a pas besoin de paniquer, d’avoir des remords ou d’être triste », a-t-il déclaré. Diamond n’a pas hésité à soutenir financièrement celle qui portait son enfant. «Quand elle est tombée enceinte, je lui ai dit que j’étais père de famille. Je n’aimais pas l’avortement, c’était mon sang. Avant qu’elle n’accouche, je lui ai acheté un Toyota Rav 4 neuf. Je lui donnais une somme de 70.000 shillings ougandais par jour », a-t-il révélé. Diamond Platnumz garde d’ailleurs de bonnes relations avec Hamisa Mobetto, c’est en guise de cela qu’il lui a donné un conseil. « Je ne peux pas haïr Hamisa mais je lui conseille de regarder l’avenir du bébé, car publier sur les réseaux n’aidera pas
  • Débat d’égo : Didier Drogba répond à Samuel Eto’o et El Hadj Diouf

    Après la sortie d’El Hadji Diouf qui a poussé Samuel Eto’o à réagir au sujet du meilleur joueur d’Afrique, Didier Drogba, cité dans l’affaire, est sorti du silence. L’ancien capitaine des Éléphants a répondu à ses confrères… Il y’a quelques temps, El Hadj Diouf, a affirmé avoir été le joueur africain le plus talentueux de sa génération, très loin devant le Camerounais Samuel Eto’o et l’Ivoirien Didier Drogba. Une sortie qui a vite fait réagir le « Grand 9 » qui s’était autoproclamé footballeur le plus talentueux de sa génération. Eto’o a ainsi rappelé à l’ex attaquant de Liverpool que ni lui ni Drogba, ne lui étaient comparable sur le plan footballistique. Sorti de son silence, L’ex capitaine des Éléphant de Côte d’Ivoire a lancé un message à ses confrères. « Il (El Hadj Diouf) a le droit de l’expression. Je suis très sage et mon éducation ne me permet pas de répondre. Seul l’UEFA est témoin que l’Afrique a de grands joueurs, et certains font partie des Tops 20 des meilleurs buteurs de l’histoire en ligue des champions… Mes frères Eto’o et Diouf ont été de très grands joueurs, tout comme Ronaldinho à Barcelone. Chacun a son étoile. Aujourd’hui il y a une nouvelle génération de footballeurs; des jeunes frères comme Mané et Salah font des merveilles et pourront faire plus que les anciens joueurs africains. » « Je ne peux pas affirmer aux yeux de tout le monde que je resterai le meilleur buteur africain en LDC. Le monde évolue et il y a encore du talent en Afrique. Je dirai à Eto’o et Diouf d’encourager nos jeunes frères qui évoluent dans de différents clubs pour rehausser le niveau du football africain et de continuer à représenter l’Afrique partout dans le monde. C’est l’Afrique qui gagne », a-t-il conclut. Par cette réponse de Drogba pleine d’humilité, on pense que le débat est clos !
  • La justice rejette une troisième demande de libération de R. Kelly : « Il est un danger pour la communauté » !

    1. Kelly restera en prison. Les avocats du chanteur avaient déposé une demande pour réclamer sa libération en raison du risque élevé de contracter le coronavirus. La demande a été rejetée une fois de plus.
    C’est la troisième fois que son appel à la libération pour des raisons de santé est rejetée par le tribunal. Il est en détention pour des allégations d’abus sexuels, de transmission de MST et d’enlèvement. Dans sa demande de mise en liberté sous caution, déposée au début du mois, ses avocats avaient affirmé qu’il présente un risque élevé de contracter le coronavirus parce qu’il est diabétique. La justice estime que ses raisons de santé ne sont pas suffisantes pour lui accorder une libération sous caution. La juge Donnelly, tout en rejetant la demande de R. Kelly, a déclaré que ses crimes impliquent des abus sexuels sur des mineurs et que de telles accusations ne méritent pas une mise en liberté sous caution. Bien que R. Kelly ait insisté sur le fait que s’il est libéré, il retournerait en Illinois pour y être jugé comme il l’a fait lors de son procès pour pornographie infantile en 2008, le grand jury a conclu qu’il pourrait soudoyer les témoins comme il l’avait fait à cette époque. « Il est accusé dans l’Illinois et à New York de crimes très graves, pour lesquels il risque une longue peine de prison s’il est reconnu coupable », a écrit la juge Donnelly dans sa décision « La nature des accusations qui comprennent des crimes contre des victimes mineures, des menaces contre des témoins potentiels et le versement de pots-de-vin pour empêcher les témoins de coopérer fait de lui un danger pour la communauté, notamment parce qu’il pourrait tenter de soudoyer les témoins potentiels. »
  • Hilda Baci décroche un nouveau record Guinness avec 8 780 kg de jollof rice préparés en neuf heures

    La cheffe nigériane Hilda Baci, 28 ans, vient d’inscrire une nouvelle ligne à son palmarès impressionnant. Le 12 septembre 2025, elle a obtenu le record Guinness de la plus grande portion de jollof rice jamais cuisinée : un exploit culinaire de 8 780 kg préparés en seulement neuf heures à l’Eko Hotel de Lagos. Un événement géant qui a mobilisé le public Installée dans une marmite monumentale de 23 000 litres, la préparation a attiré près de 20 000 spectateurs, venus soutenir Hilda et partager ce repas devenu un moment festif et symbolique. Pour réaliser ce plat emblématique de l’Afrique de l’Ouest, l’équipe de la cheffe a utilisé :
    • 4 000 kg de riz
    • 500 cartons de concentré de tomate
    • 600 kg d’oignons
    • 168 kg de viande de chèvre
    • des centaines de litres d’huile et d’épices
    Ces ingrédients, offerts par la marque GINO, ont été rigoureusement pesés et préparés afin de garantir l’authenticité du jollof rice, avant d’être distribués à la foule. Un défi relevé malgré les obstacles Le parcours n’a pas été de tout repos : marmite géante affaissée lors des essais, changement de lieu pour accueillir la foule, logistique complexe, pression du public et fatigue. Mais rien n’a pu arrêter Hilda Baci, portée par l’énergie de ses compatriotes et sa détermination. « Nous disons toujours que le Nigéria est le géant de l’Afrique, et le riz jollof est un sujet qui fait débat dans de nombreux pays africains. (…) En tant que géant de l’Afrique, il était logique que nous soyons les premiers à préparer le plus grand pot de riz jollof nigérian », a-t-elle expliqué. Une fierté nationale et un symbole d’unité Ce record n’est pas qu’un exploit culinaire : il est devenu un symbole d’unité et de fierté nigériane, rayonnant bien au-delà des frontières. Inspirée par sa mère, Hilda Baci prouve encore une fois qu’elle incarne une nouvelle génération de femmes africaines ambitieuses et visionnaires. Un deuxième record mondial pour la cheffe nigériane Déjà connue pour son record Guinness du plus long marathon culinaire en 2023, Hilda signe ici son deuxième exploit mondial. Et elle ne compte pas s’arrêter là : « Ce record visait à mettre en valeur la culture culinaire du Nigeria », affirme-t-elle. Avec ce nouvel accomplissement, Hilda Baci confirme son statut de véritable “Woman King” et d’icône culinaire pour l’Afrique et le monde.  
  • Molare recouvre la liberté provisoire et rend hommage à la victime de son accident

    Trois mois après le grave accident de circulation qui a coûté la vie à Madame Elise Talo, l’artiste et producteur ivoirien Maury Féré Soumahoro, alias Molare, a annoncé ce lundi avoir obtenu la liberté provisoire. Dans un long message publié sur sa page Facebook, il a tenu à exprimer ses émotions, ses remerciements et surtout son hommage à la victime. Un hommage appuyé à Elise Talo « Aujourd’hui à 20 h 30, j’ai recouvré la liberté de façon provisoire. Avant tout, j’ai une pensée pieuse et profonde pour Madame Elise Talo et j’exprime encore mon respect et mon soutien à sa famille », a-t-il écrit. Molare a salué la dignité avec laquelle les proches de la défunte ont traversé cette douloureuse épreuve : « Nos familles sont restées soudées et le resteront », a-t-il ajouté. Une expérience carcérale marquante Revenant sur ses semaines de détention, l’artiste a confié avoir découvert « l’univers carcéral, ses réalités dures mais aussi de belles rencontres ». Il a adressé sa gratitude aux gardes pénitentiaires, aux jeunes détenus qui l’ont accompagné, ainsi qu’aux guides religieux – pasteurs, imams et aumôniers – qui lui ont rappelé la présence de Dieu « partout ». Des remerciements appuyés Molare n’a pas manqué de remercier son équipe pour le travail accompli durant son absence, ainsi que ses fans et soutiens pour leurs prières et messages. « Cette épreuve m’a fait prendre conscience de la chance que nous avons d’être en liberté. Elle restera douloureuse, et je ne reviendrai plus là-dessus publiquement », a-t-il précisé. Un nouveau départ L’artiste-producteur dit désormais vouloir tourner la page et se concentrer sur l’essentiel : « Aujourd’hui, je veux regarder devant et continuer à travailler pour la jeunesse, la culture, la paix et la cohésion sociale en Côte d’Ivoire. » Il a conclu son message en remerciant la justice pour l’oreille attentive accordée à sa demande de liberté provisoire, tout en adressant une bénédiction à son pays : « Merci à tous, que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire. »  
  • Portrait : Ingrid Solange Amougou entre élégance, engagement et leadership

    Ingrid Solange Amougou est une figure incontournable de la scène culturelle camerounaise. Présidente fondatrice du Comité d’organisation Miss Cameroun (Comica) depuis 2002, elle a transformé ce concours en vitrine de la beauté féminine, mais aussi en un espace d’engagement social et éducatif. Des études brillantes entre le Cameroun et l’Angleterre Née dans le Sud Cameroun, Ingrid Solange Amougou effectue sa scolarité primaire à l’École catholique de Ngouazip (1972-1979), puis poursuit ses études secondaires au Lycée Leclerc de Yaoundé, au Lycée classique de Bertoua, et enfin au Lycée De Gaulle de Londres. Passionnée par les nouvelles technologies, elle s’oriente vers l’informatique et suit une formation au David Games College de Londres avant d’obtenir, en 1988, un diplôme d’analyste-programmeur à l’University of Cambridge. Une vie entre politique et culture Avant de se consacrer pleinement à l’organisation de Miss Cameroun, Ingrid Solange Amougou a eu une riche carrière dans la communication et la politique. · 1990–2000 : Chargée des relations publiques à la Direction des organes de presse et création (DOPE). · 1995–2017 : Membre de plusieurs sous-commissions chargées de l’organisation des manifestations et grands événements du RDPC. · 1996 : Nommée à la cellule de promotion des activités statistiques et informatiques du C/RDPC. · 2004 : Membre du Secrétariat technique du parti lors de l’élection présidentielle. · 2016 : Vice-présidente de section OFRDPC de Mvila Nord-Ouest (Biwong-Bane). Sportive avant tout Au-delà de la culture et de la politique, Ingrid Solange Amougou a aussi été sportive de haut niveau. Elle a évolué au Canon Fille en football dès 1979, a représenté le Cameroun à la Coupe d’Afrique de handball en Égypte en 1980, et a porté les couleurs du Tonnerre Kalara Club de Yaoundé en handball entre 1979 et 1984. Miss Cameroun : un concours au service de la jeunesse La création de Miss Cameroun trouve son origine dans un voyage marquant à Djoum, où elle découvre la situation précaire de jeunes adolescentes enceintes, souvent mal informées sur la santé reproductive. Convaincue que la beauté peut aussi être un vecteur d’éducation et d’autonomisation, elle fonde le Comica en 2002. Sous sa présidence, Miss Cameroun devient non seulement une compétition de prestige, mais aussi une plateforme de sensibilisation, de prévention en matière de santé, et d’actions caritatives. Chaque édition se distingue par des dons et des programmes d’accompagnement social. Présente aux côtés de la Première Dame, Chantal Biya, elle contribue à renforcer la portée nationale et internationale du concours. Reconnaissance et distinctions En 2016, Ingrid Solange Amougou est faite Chevalier de l’Ordre de la Valeur, une distinction qui vient couronner son engagement multiforme au service du Cameroun. Madame Ingrid Solange Amougou incarne une personnalité plurielle : organisatrice de concours de beauté, actrice politique, sportive et femme engagée, elle a su mettre son expérience et son influence au service de la jeunesse et du rayonnement du Cameroun.
  • Hilda Baci tente un nouveau record avec la plus grande marmite de riz jollof du monde

    La cheffe nigériane Hilda Baci s’est lancée ce vendredi 12 septembre 2025 dans un défi culinaire hors norme : préparer la plus grande marmite de riz jollof jamais réalisée. L’événement, retransmis en direct sur son compte Instagram, attire des milliers d’internautes fascinés par chaque étape de cette performance gastronomique. Une star déjà recordwoman En 2023, Hilda Baci avait captivé l’attention mondiale en cuisinant sans interruption pendant plus de 93 heures, un exploit qui lui avait valu un record Guinness et une reconnaissance internationale. Deux ans plus tard, elle revient sur le devant de la scène avec un nouveau projet aussi audacieux que spectaculaire. Le jollof, un plat qui unit… et divise Plat emblématique d’Afrique de l’Ouest, le riz jollof est souvent au cœur d’un débat culinaire passionné entre le Nigeria, le Ghana et d’autres pays de la région. En choisissant ce mets, Hilda Baci ne se contente pas de cuisiner : elle célèbre toute une culture gastronomique, symbole d’identité et de convivialité. Un rêve devenu réalité « Il y a presque deux ans, je rêvais de cuisiner le plus grand plat de riz jollof jamais préparé. Et maintenant, avec Gino Nigeria et VOUS, ce rêve devient réalité : 6 mètres sur 6 mètres de large. Le 12 septembre, nous écrivons l’histoire ensemble. Car que serait le Jollof sans vous pour le partager ? », écrivait-elle en août dernier sur ses réseaux sociaux. Une icône de la cuisine africaine Avec ce défi, Hilda Baci démontre une fois de plus qu’aucun rêve n’est trop grand. Déjà figure incontournable de la gastronomie africaine, elle confirme sa volonté de porter haut les saveurs du continent sur la scène mondiale.
  • Nkil M’mouat : Quand le Costume Traditionnel Camerounais Devient Terrain de Recherche et de Création

    Et si le patrimoine textile devenait un laboratoire vivant de réflexion et de création ? C’est le magnifique pari de Brigitte NGA ONDIGUI, chercheuse camerounaise en Histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), qui a orchestré un événement inédit mêlant savoir académique et expression artistique : une journée d’étude suivie d’un défilé de mode, tous deux consacrés au m’mouat, costume traditionnel du peuple Ekang. Une autre vision du costume traditionnel Intitulée Le m’mouat au Cameroun : bilan critique, enjeux culturels et perspectives de recherche, la journée d’étude a réuni cinq experts venus de disciplines aussi diverses que l’histoire, la sociologie, le cinéma, l’art et le stylisme. Ensemble, ils ont exploré les multiples facettes du m’mouat, à la fois symbole identitaire, vecteur de mémoire et objet de réappropriation contemporaine. Loin d’une simple analyse textile, les échanges ont interrogé les vêtements, parures et ornements dans une approche transdisciplinaire, révélant la richesse d’un costume porteur de statuts sociaux et de valeurs ancestrales. Le défilé Nkil M’mouat : une piste vers la décolonisation esthétique Le moment fort de l’événement fut le défilé Nkil M’mouat, littéralement « la piste du m’mouat », inspiré de la symbolique de la piste de l’éléphant (Nkilzok) dans la culture Ekang. Sept stylistes ont présenté chacun cinq tenues réalisées en obom, une matière végétale locale, réinterprétant le costume dans un contexte postcolonial. Accompagné de musiques traditionnelles et d’une scénographie enracinée dans les cultures du Sud-Cameroun, le défilé a transformé l’espace universitaire en scène rituelle, où la création devient acte de recherche et de résistance. Une démarche entre science et engagement L’initiative de Brigitte NGA ONDIGUI, qui alterne interventions académiques et performances artistiques, poursuit deux objectifs majeurs : – Scientifique : Documenter la résurgence du m’mouat, encore peu étudiée dans les cercles académiques, et enrichir la compréhension de sa réappropriation dans les territoires Ekang. – Militant : Valoriser le m’mouat au-delà des frontières camerounaises, mobiliser les communautés locales et renforcer la cohésion culturelle autour de cet héritage textile. Le m’mouat sur la scène internationale À travers Nkil M’mouat, le costume traditionnel camerounais s’invite dans les débats contemporains sur la décolonisation des imaginaires, la mode éthique et la transmission culturelle. Comme le dit l’adage Ekang : « Si tu n’as pas de problème avec la panthère, tu peux dormir sur sa piste. » Le m’mouat, réinvesti et réinventé, trace désormais sa voie vers une reconnaissance renouvelée, entre mémoire et modernité. Par Thierry Edjegué
  • Francis Ngannou: « J’aimerais que le dernier combat de ma carrière se passe en Afrique. »

    Francis Ngannou, l’une des plus grandes icônes des sports de combat de sa génération, envisage une fin de carrière hautement symbolique. Dans une interview accordée au média La Sueur, l’ancien champion du monde poids lourd de l’UFC a révélé son souhait de disputer son ultime combat en Afrique, sur la terre qui l’a vu naître. « J’aimerais que le dernier combat de ma carrière se passe en Afrique », a-t-il confié, des mots simples mais porteurs d’une immense charge émotionnelle. De Batié à Las Vegas : un parcours hors norme Né en 1986 à Batié, dans l’Ouest du Cameroun, Ngannou a grandi dans la pauvreté, travaillant très jeune dans les carrières de sable. Rêvant d’un avenir meilleur, il a quitté son pays natal pour l’Europe dans des conditions extrêmement difficiles, traversant le désert et connaissant l’exil avant d’arriver en France, sans ressources mais déterminé. C’est dans une petite salle parisienne que son destin a basculé. En quelques années, il est passé du statut d’anonyme à celui de champion du monde UFC en 2021, en battant l’Américain Stipe Miocic par KO. Sa puissance dévastatrice lui a valu le surnom de « The Predator », faisant de lui une figure incontournable du MMA mondial. Une reconversion vers la boxe Après avoir quitté l’UFC en 2023 pour rejoindre la Professional Fighters League (PFL), Ngannou a surpris le monde en se lançant dans la boxe anglaise. Son premier combat contre Tyson Fury, champion WBC, en octobre 2023, a marqué les esprits : malgré une défaite aux points, Ngannou a envoyé le « Gypsy King » au tapis dès le troisième round, prouvant qu’il avait sa place parmi les meilleurs. En mars 2024, il a affronté Anthony Joshua à Riyad. Cette fois, le Camerounais s’est incliné par KO au deuxième round, un revers difficile mais qui n’a en rien entamé son aura. Son parcours atypique, entre MMA et boxe, continue de fasciner les fans à travers le monde. L’Afrique, un symbole et un rêve Le souhait de Francis Ngannou d’organiser son dernier combat en Afrique s’inscrit dans une logique de retour aux sources. Le continent, bien que riche en talents sportifs, reste encore en marge des grands événements mondiaux de MMA. L’annonce résonne comme une promesse : celle de donner à l’Afrique un moment historique, à l’image du mythique « Rumble in the Jungle » de 1974, qui avait opposé Mohamed Ali à George Foreman à Kinshasa, au Zaïre (actuelle RDC). Pour Ngannou, ce choix ne serait pas qu’un simple geste sportif, mais un acte d’hommage à ses racines et à tout un peuple qui l’a toujours soutenu. Une image de héros en Afrique Au Cameroun comme dans toute l’Afrique, Francis Ngannou est bien plus qu’un athlète : il est un symbole d’espoir et de résilience. Son histoire inspire une jeunesse souvent confrontée aux difficultés économiques et sociales. Le champion investit d’ailleurs régulièrement dans des projets communautaires, notamment à Batié où il a construit une salle de sport pour encourager la pratique des arts martiaux. Ce rôle de modèle, Ngannou l’assume pleinement : « Si mon histoire peut donner de la force aux jeunes qui n’ont rien, alors je considère que j’ai déjà gagné », déclarait-il dans une interview précédente. Un adieu qui marquerait l’histoire Si son projet se concrétise, le dernier combat de Francis Ngannou en Afrique pourrait devenir un événement majeur, à la croisée du sport, de la culture et de l’identité. Plus qu’un adieu à la compétition, ce serait l’occasion de célébrer le parcours exceptionnel d’un homme parti de rien et devenu une légende mondiale. En attendant, les regards restent tournés vers l’avenir immédiat du « Predator ». Une chose est sûre : qu’il s’agisse de MMA ou de boxe, son dernier rugissement résonnera là où tout a commencé — en Afrique.  
  • Stephanie Tum dévoile « LOVE IN EVERY CELL », un film poignant sur la drépanocytose

    L’actrice et productrice camerounaise Stephanie Tum revient sur le devant de la scène avec un nouveau projet cinématographique d’envergure : « LOVE IN EVERY CELL » « L’Amour en chaque particule ». Tourné depuis le Nigeria, ce drame romantique aborde avec sensibilité un sujet de santé publique souvent passé sous silence : la drépanocytose. Le film raconte l’histoire de Sarah et Olu, deux jeunes amoureux dont les rêves se heurtent à une réalité scientifique implacable. Alors qu’ils aspirent à fonder une famille, le couple découvre qu’Olu est porteur du gène de la drépanocytose, une maladie héréditaire qui bouleverse leur destin. Entre passion et douleur, « LOVE IN EVERY CELL », explore les dilemmes, les choix et les sacrifices que l’amour impose lorsque la science s’invite dans la vie intime. À travers cette œuvre, Stephanie Tum met en lumière une maladie qui touche des millions de personnes, particulièrement en Afrique, et invite le public à réfléchir sur l’importance du dépistage, de la sensibilisation et du soutien aux malades. Déjà salué pour son audace et son originalité, le film est désormais disponible sur YouTube 👉
  • Miriam Ebah Obama : de The Voice Kids Afrique à la conquête de la scène française

    Sacrée championne de The Voice Kids Afrique francophone en 2022, la jeune Camerounaise Miriam Ebah Obama poursuit son rêve musical avec une détermination impressionnante. Trois ans après son sacre à seulement 10 ans, elle s’illustre désormais sur la scène internationale en participant à The Voice Kids France 2025, dont les auditions à l’aveugle ont débuté le samedi 6 septembre sur TF1. Un talent précoce révélé en Afrique Née au Cameroun dans une famille de musiciens, Miriam commence à chanter dès l’âge de 5 ans. Passion héritée de ses parents, la musique devient très vite son terrain d’expression privilégié. En 2022, elle séduit les coachs et le public de The Voice Kids Afrique francophone grâce à sa reprise audacieuse de Chandelier de Sia. Si une seule coach s’était retournée lors des auditions à l’aveugle, la puissance et l’émotion de sa voix lui permettent de remporter la grande finale et de décrocher, en plus du prestigieux trophée, une enveloppe de 10 millions de FCFA. Son triomphe fait la fierté du Cameroun : elle est reçue officiellement par le ministre de la Culture, Pierre Ismaël Bidoung Mkpatt, au Musée national de Yaoundé, où elle présente son trophée au public. Une aventure française, entre découverte et ambition Aujourd’hui collégienne, Miriam voit sa participation à The Voice Kids France 2025 comme une nouvelle étape : à la fois un loisir, une expérience culturelle unique et une opportunité de faire découvrir son talent à un public plus large. Soutenue par ses parents et son frère, elle a choisi pour son audition le titre exigeant Listen de Beyoncé, un pari audacieux qui a fait mouche. Sa prestation magistrale a séduit les quatre coachs – Santa, Matt Pokora, Soprano et Patrick Fiori – qui se sont retourné unanimement. Avec assurance, la jeune chanteuse a opté pour l’équipe de Soprano, convaincue par son énergie et sa sensibilité. Une étoile montante à suivre À seulement 12 ans, Miriam Ebah Obama incarne l’image d’une jeunesse africaine talentueuse qui rêve grand. Sa trajectoire de – Yaoundé, puis de l’Afrique francophone à la scène française – illustre la puissance universelle de la musique comme langage sans frontière. Avec son charisme, son aisance scénique et sa voix hors du commun, la jeune Camerounaise n’en est qu’au début d’un parcours qui promet d’écrire encore bien des pages de succès.  
  • Michael CHEDJOU : « L’architecte doit être au cœur de tout projet de construction, de la petite cuisine au gratte-ciel… »

    Michael CHEDJOU incarne la nouvelle génération d’architectes camerounais, refusant les sentiers battus pour s’engager sur un chemin où la créativité et la rigueur rencontrent un devoir de mémoire. De son héritage familial de maçons à son projet percutant sur le « Maquis Kamerun », il nous révèle comment son travail va au-delà des constructions pour devenir une exploration de l’histoire et de la culture. Michael CHEDJOU nous ouvre les portes de son univers, où le respect, l’humilité et une vision afro-centrée sont les fondations d’une architecture résolument tournée vers l’avenir. Culturebene : Bonjour Michael Chedjou, merci de répondre aux questions de Culturebene. En quelques mots, pouvez-vous vous présenter à nos internautes ? Michael Chedjou : Bonjour ! Je suis Michael Chedjou, architecte titulaire d’un Diplôme d’État d’Architecture (D.E.A). Je suis inscrit à l’Ordre National des Architectes du Cameroun (ONAC) sous le numéro 690. Je dirige le cabinet d’architecture MADConcept-Architecture, qui travaille avec des clients privés à Douala. Je suis un jeune architecte passionné, intéressé par les concepts et les réflexions qui ont du sens. Sensible à l’art et aux cosmogonies afro-centriques, je me définis comme une personne anticonformiste. Comment êtes-vous arrivé à l’architecture ? Parlez-nous de vos débuts. J’ai toujours été attiré par les métiers de la construction. Mon parcours n’est pas un hasard, car je viens d’une famille de maçons. Très jeune, j’avais déjà des prédispositions pour ce métier. Ma passion était le dessin à main levée. J’adorais dessiner, j’achetais des bandes dessinées pour les reproduire, et le journal Popoli était le seul que je lisais pour ses dessins. Je me balade toujours avec mon carnet de croquis. Plus tard, j’ai réfléchi à comment rendre cette passion « vendable ». J’ai commencé par faire des cartes de vœux au lycée, ce qui me donnait déjà de l’argent de poche. En grandissant, il était évident de choisir un métier étroitement lié à ma passion. En tant que dessinateur en herbe et fils et petit-fils de maçon, ma carrière dans ce domaine fascinant était une évidence. Quelles sont les qualités requises pour être un architecte ? C’est une excellente question, car je l’ai souvent posée à mes propres mentors. L’une des réponses les plus philosophiques m’a été donnée par l’architecte Douala Bell, qui m’a dit un jour : « Pour être un bon architecte, il faut deux qualités simples : le respect et l’humilité. » L’architecture est un métier qui peut être perçu comme arrogant, car il transforme l’environnement dans lequel il s’inscrit. Pour compenser, l’architecte doit rester humble et savoir respecter tout le monde sur le chantier, du simple artisan au grand directeur général. Pour ma part, je pense que l’architecture est avant tout une idéologie, un état d’esprit philosophique, un paradigme, une manière d’être et de faire qui sort de l’ordinaire. Pour être un bon architecte, il faut être un homme de culture. Comme le disait l’architecte Jean Nouvel : « Faire de l’architecture, c’est pétrifier un moment de culture. » Il est donc essentiel de se questionner sur sa propre identité culturelle. Il faut aussi être ouvert d’esprit et très curieux, s’intéresser à tout, car un architecte doit avoir des connaissances empiriques sur la plupart des sujets. Enfin, il faut être à l’écoute, discipliné et organisé pour réussir à tout coordonner. En 2021, dans le cadre de votre stage, vous avez choisi comme thème « Maquis Kamerun ». Pourquoi ce choix ? Merci pour cette question qui me permet de reparler de ce projet, à la veille de l’anniversaire de la mort de notre héros national, Ruben Um Nyobè, assassiné le 13 septembre 1958. Je me souviens de ma grand-mère qui me racontait comment, pendant cette période de braise, elle fuyait de cachette en cachette avec ses enfants pour échapper aux violences de la guerre d’indépendance. Plus tard, j’ai appris que mon arrière-grand-père avait également été tué et son corps mutilé. Je précise qu’il n’était ni rebel, ni traitre, mais un simple commerçant. En 2017, j’ai découvert Bimbia, l’un des ports d’esclaves les plus importants. J’ai été choqué d’apprendre que plus de 10% de la population d’esclaves partait de Bimbia, plus que de l’île de Gorée au Sénégal. J’étais abasourdi qu’un lieu d’une telle richesse culturelle et historique soit aussi peu connu au Cameroun. J’ai découvert que la chercheuse Dr. Lisa Marie Audrey avait documenté le site, qui a été ouvert au public en 2008. Fort de ces histoires sombres, je me suis donné pour mission de raconter notre histoire à travers l’architecture. Après avoir travaillé sur l’histoire de l’esclavage, je voulais continuer cette exploration historique. À Bafoussam, il y avait une place autrefois appelée « Carrefour maquisards » qui s’appelle malheureusement aujourd’hui « Carrefour Total ». Ce constat a été le déclic. Un petit sondage a montré que les jeunes de 20 à 35 ans ignoraient que leurs aînés avaient été assassinés et décapités sur cette place. Pire encore, des années plus tard, deux stations-service ont été installées sur ce terrain. Cela peut être perçu comme une volonté manifeste d’effacer la mémoire collective. Je me suis alors demandé ce que l’architecture pourrait apporter à la restauration de ce lieu de mémoire. Pour un architecte, chaque lieu a un esprit, un « génie du lieu ». J’ai donc commencé mes recherches sur ce sujet. Dans la continuité historique, après l’esclavage et les deux guerres mondiales, l’époque des guerres d’indépendance a vu l’émergence du maquis au Kamerun. Après ces analyses, il m’a semblé être un devoir de mémoire de contribuer, même modestement, à la préservation du Carrefour maquisards. Selon vous, ce projet est-il réalisable ? Absolument ! Il est tout à fait réalisable. Je rappelle que ce projet a déjà été présenté trois fois aux États-Unis et une campagne de levée de fonds est en cours depuis plus d’un an. On voit de nombreuses réalisations sur vos comptes sociaux. Quel est votre projet le plus abouti depuis que vous vous êtes lancé ? Un architecte ne peut pas choisir parmi ses enfants. Tous les projets sont importants, même si on les aime chacun à sa manière. Lors de la livraison, quels sont les retours de vos clients ? Si nous avons tant de passion pour ce métier, c’est grâce aux étoiles qui brillent dans les yeux de nos clients chaque fois que nous livrons un projet. Je crois que si ce n’était pas positif, nous aurions déjà abandonné. On ne renonce pas à une vocation. Les clients sont très heureux et satisfaits, et la plupart du temps, nos relations professionnelles deviennent amicales et fraternelles. Pensez-vous que tout projet de construction nécessite l’implication d’un architecte ? Excellente question ! L’architecte doit être au cœur de tout projet de construction, de la petite cuisine au gratte-ciel, de la rénovation à la réhabilitation d’espaces publics ou privés, et même à la restauration de monuments historiques. L’architecte est pluridisciplinaire et multidimensionnel. C’est le chef d’orchestre qui accorde les violons pour que la mélodie soit belle. Il est présent du début à la fin de tout projet de construction, quelle que soit sa taille. On pense (peut-être à tort) que les architectes coûtent cher. Que pouvez-vous dire à ce sujet ? À une certaine époque, c’était très vrai. L’architecture était réservée aux dieux, aux morts et aux rois. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Tout le monde peut s’offrir les services d’un architecte. Pour espérer avoir un paysage urbain attrayant, il faut que tout le monde consulte des architectes, sinon l’anarchie ne pourra pas être stoppée. De plus, l’architecte vous aide à faire des économies sur le projet. Il limite les erreurs et les dépenses inutiles du chantier, et il conçoit des espaces efficaces et performants en termes d’énergie et d’ergonomie. Il vous fera économiser au moins quatre fois le prix de ses honoraires. En réalité, on a tout intérêt à consulter un architecte. Les promoteurs les plus modestes ont plus besoin d’un architecte, car ils n’ont pas droit à l’erreur, contrairement aux nantis qui peuvent se permettre de démolir et de recommencer. L’idée selon laquelle les architectes sont élitistes est une idée reçue. Un mot sur l’urbanisme de nos grandes métropoles ? C’est polluant, tout est un mélange. Il faut un vaste programme de structuration urbaine, comme le Plan Marshall en France ou le Plan Cerdà en Espagne. Nos métropoles sont des grandes villes malades, des « géants aux pieds d’argile ». Le système de construction a des problèmes, tout comme le système routier, l’assainissement, les espaces verts, etc. Si l’on souhaite faire appel à vos services, comment peut-on vous contacter ? On peut me trouver sur l’annuaire national de l’Ordre National des Architectes du Cameroun (ONAC) sous le numéro 690, qui est consultable en ligne. Je suis également joignable via mes contacts directs :
    • Téléphone: +237 675 812 523 et +237 699 921 084
    • Mail: Michaelchedjou0110@gmail.com
    • Réseaux sociaux:
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      • LinkedIn : Architecte Michael Chedjou
    Avez-vous un message à adresser aux clients qui souhaitent construire une maison mais n’ont pas assez de moyens ? Mon message est très simple : laissez-vous guider, car « Demain, c’est maintenant !!! » Un dernier mot ? Je vous remercie, Culturebene, pour cette tribune que vous m’offrez pour parler de ce magnifique métier, qui est à la fois un art et une science. À bientôt !
  • Éric Christian Nya : la voix et le visage de l’animation télé au Cameroun

    Animateur emblématique de la Cameroon Radio Television (CRTV), Éric Christian Nya s’est imposé comme l’une des figures incontournables du paysage audiovisuel camerounais. Connu du grand public pour ses émissions phares Cameroun Feeling et Tempo, il incarne une génération d’animateurs passionnés, dynamiques et proches de leur audience. Un parcours construit par la passion et l’autodidaxie Né d’une passion précoce pour les médias, Éric Christian Nya fait ses premières armes dans plusieurs radios privées à Yaoundé et Douala, parmi lesquelles Radio Soleil, Radio Venus, RTM, Suellaba FM 105 et STV. Très tôt, il comprend que l’expérience de terrain et l’autodidaxie sont ses meilleurs atouts. « J’ai toujours cru que l’expérience et la pratique sont les meilleurs enseignants », confiait-il au journal L’Étudiant. Cette philosophie l’accompagnera tout au long de sa carrière. Un animateur aux multiples casquettes Entré à la CRTV il y a plus de dix ans, Éric Christian Nya y a gravi les échelons jusqu’à devenir producteur radio-TV et project manager. En parallèle de ses activités d’animateur, il s’investit dans la production de contenus et la gestion de projets audiovisuels, confirmant sa polyvalence. Sa formation académique – un Master 2 en management de projets de l’Institut Panafricain pour le Développement Afrique Centrale (IPD-AC) et un diplôme en Histoire, spécialité Relations internationales de l’Université de Yaoundé I – lui donne un socle solide pour allier rigueur et créativité. Le visage de programmes populaires Sur les plateaux de la CRTV, il donne vie à des émissions devenues des rendez-vous incontournables : Cameroun Feeling (télévision), un magazine matinal diffusé trois fois par semaine, où il mêle convivialité et découverte culturelle. Tempo (radio), un magazine musical qui explore les rythmes et les artistes d’ici et d’ailleurs. Son style chaleureux, proche du public, lui a valu une reconnaissance nationale, notamment avec le prix du meilleur animateur TV aux Cameroon Television Awards 2024. Un passeur de savoir et un modèle pour la jeunesse Au-delà de l’écran, Éric Christian Nya partage son savoir-faire en animation radio et télévision avec les étudiants de l’Institut de Formation et de Conservation du Patrimoine Audiovisuel (IFCPA) de la CRTV. Pour lui, transmettre son expérience est une manière de préparer la relève et d’inspirer les jeunes à croire en leur potentiel, même sans parcours académique traditionnel en journalisme. Un héritage et une inspiration Fort de plus de onze années d’expérience à la CRTV, Éric Christian Nya revendique un parcours bâti sur la passion, la persévérance et l’adaptation. Inspiré et encouragé par des figures du journalisme africain comme le regretté Amobé Mévégué, il incarne aujourd’hui un modèle de réussite accessible, démontrant qu’avec de la détermination et du travail, il est possible de tracer sa voie dans les médias.
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