Annik Ayissi : « Les RAR participent au développement et à la professionnalisation des arts de la rue…»

Quel bilan faites vous l’issu de cette édition de RAR?

Le bilan est très positif à l’issue de cette édition 2014 car nous avons compris à travers les spectacles de camerounais de très bonnes qualités que nous avons eues à cette édition, que les RAR à travers ces différents stages et ateliers participent positivement au développement et à la professionnalisation des arts de la rue au Cameroun, ce qui est le but de cette association.

Pourquoi le choix du thème ‘‘Et si on faisait la fête’’ ?

Après avoir décrié dans les éditions précédentes les maux qui minent l’Afrique, nous avons pense pour cette édition que nous arrêtons avec ça et pour une fois malgré les guerres et toutes les pandémies qui minent l’Afrique on s’est dit et si on faisait la fête? D’où le thème de cette édition.

Comment le public, destinataire de votre festival, accueille t-il les différents spectacles ?

Très bien accueilli, on a observé un engouement du public qu’on n’imaginait pas, ils ont très bien accueilli les différents spectacles. Beaucoup nous ont confiés tout contents n’avoir jamais vu ce qu’ils ont vu durant ce festival.

Et quelles sont tes ambitions pour la prochaine édition?

Notre ambition est de retourner à Mfou qui à notre avis est en véritable manque de ce genre initiatives. Et pour la prochaine édition de nombreuses surprises agréables attendent le public.

Propos recueillis par Ebah Essongue Shabba